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Dieu Tout-Puissant, le glorieux vrai Dieu
30 juillet 2018

(II) Paroles classiques sur Dieu révélant l’œuvre de l’ère de la Grâce

 32 À l’ère de la Grâce, Jésus est venu racheter toute l’humanité déchue (non seulement les Israélites). Il a fait preuve de miséricorde et de bonté envers l’homme. Le Jésus que l’homme voyait dans l’ère de la Grâce était rempli de bonté et était toujours aimant, car Il était venu délivrer l’homme du péché. Il pouvait pardonner aux hommes leurs péchés jusqu’à ce que Sa crucifixion délivre vraiment l’humanité du péché. Pendant ce temps, Dieu est apparu à l’homme dans la miséricorde et la bonté, c’est-à-dire qu’Il est devenu un sacrifice d’expiation pour l’homme et a été crucifié pour les péchés de l’homme afin qu’il puisse être pardonné éternellement. Il était miséricordieux, compatissant, endurant et aimant. Et tous ceux qui suivaient Jésus à l’ère de la Grâce ont également cherché à être endurants et aimants en toutes choses. Ils ont enduré toutes les souffrances, et n’ont jamais retourné les coups quand ils étaient battus, maudits ou lapidés.

Extrait de « Les deux incarnations complètent la signification de l’incarnation », La Parole apparaît dans la chair

 33 L’œuvre de Jésus a été faite conformément aux besoins de l’homme à cette ère. Sa tâche était de racheter les hommes, de leur pardonner leurs péchés, et tout Son tempérament était donc d’humilité, de patience, d’amour, de piété, de tolérance, de miséricorde et de bonté. Il a béni les hommes richement et leur a apporté la grâce en abondance et, toutes choses dont ils pouvaient possiblement jouir, Il les leur a données pour qu’ils en jouissent : la paix et le bonheur, Sa tolérance et Son amour, Sa miséricorde et Sa bonté. En ce temps-là, tout ce que l’homme rencontrait était une abondance de choses à apprécier : son cœur était en paix et rassuré, son esprit était consolé et il était soutenu par le Sauveur Jésus. Qu’il pût gagner ces choses était une conséquence de l’ère dans laquelle il vivait. Dans l’ère de la Grâce, l’homme avait déjà été corrompu par Satan, et ainsi l’œuvre de racheter toute l’humanité exigeait une abondance de grâce, une tolérance et une patience infinies et, plus encore, une offrande adéquate pour expier les péchés de l’humanité, afin de produire ses effets. Ce que les gens voyaient dans l’ère de la Grâce n’était que Mon offrande d’expiation pour l’humanité : Jésus. Ils savaient seulement que Dieu pouvait être miséricordieux et tolérant et ne voyaient que la miséricorde et la bonté de Jésus. C’était entièrement parce qu’ils vivaient à l’ère de la Grâce. Alors, avant qu’ils ne pussent être rachetés, ils devaient jouir des nombreuses sortes de grâce que Jésus leur accorda ; cela seul était bénéfique pour eux. De cette façon, ils pouvaient être pardonnés de leurs péchés en jouissant de la grâce et pouvaient aussi avoir la chance d’être rachetés en jouissant de la tolérance et de la patience de Jésus. Seulement par la tolérance et la patience de Jésus obtinrent-ils le droit de recevoir le pardon et de jouir de l’abondance de la grâce accordée par Jésus, comme Jésus a dit : « Je suis venu non pour racheter les justes, mais les pécheurs, et pour permettre que leurs péchés soient pardonnés. » […] Plus Jésus aimait les hommes, leur pardonnant leurs péchés et leur donnant assez de miséricorde et de bonté, plus l’humanité pouvait être sauvée, appelée les agneaux perdus et rachetés par Jésus à un prix élevé. Satan ne pouvait pas se mêler de cette œuvre, parce que Jésus traitait ceux qui Le suivaient comme une mère aimante traite l’enfant dans ses bras. Il ne se fâchait pas contre eux ni ne les méprisait, mais Il était plein de consolation ; Il n’était jamais furieux parmi eux, mais tolérait leurs péchés et fermait les yeux sur leur folie et leur ignorance, jusqu’à dire : « Pardonne les autres soixante-dix fois sept fois. » Son cœur a donc réformé le cœur des autres et ainsi les gens ont reçu le pardon par Sa tolérance.

Extrait de « La vérité sur l’œuvre à l’ère de la Rédemption », La Parole apparaît dans la chair

 34 Lorsque le Seigneur Jésus entama Son œuvre, Il avait déjà laissé derrière Lui le carcan de l’ère de la Loi et avait brisé les règles et les principes de cette ère. En Lui, il n’y avait plus aucune trace de quoi que ce soit lié à la loi ; Il S’en était complètement libéré et ne la suivait plus ; Il n’exigeait plus que l’humanité la respecte. Donc ici tu vois que le Seigneur Jésus marche à travers les champs de blé le jour du sabbat ; le Seigneur ne Se reposait pas, mais Il travaillait à l’extérieur. Cet acte de Sa part fut un choc pour les conceptions des gens et leur indiqua qu’Il ne vivait plus en accord avec la loi, qu’Il avait abandonné les confins du sabbat et qu’Il apparaissait en face et au milieu de l’humanité avec une nouvelle image, une nouvelle façon d’œuvrer. Cette action de Sa part disait au peuple qu’Il avait apporté une nouvelle œuvre qui commençait par sortir de la loi et sortir du sabbat.

  Extrait de « L’œuvre de Dieu, le tempérament de Dieu et Dieu Lui-même III », La Parole apparaît dans la chair

 35 Une nouvelle ère n’a pu commencer qu’au moment où Jésus est venu faire un nouveau travail, a ouvert une nouvelle ère, et a percé le travail qui avait déjà été fait en Israël. Il n’a pas effectué Son travail selon le travail accompli par l’Éternel en Israël, n’a pas respecté Ses anciennes règles, n’a suivi aucun règlement et a fait le nouveau travail qu’Il devait faire. Dieu Lui-même vient pour commencer une ère et Dieu Lui-même vient mener l’ère à sa fin. L’homme est incapable de commencer une ère et de conclure une ère. Si Jésus n’a pas mené le travail de l’Éternel à sa fin, alors cela prouve qu’Il était simplement un homme et ne représentait pas Dieu. La preuve que ce fut une nouvelle ère et que Jésus était Dieu Lui-même est que Jésus est venu et a conclu le travail de l’Éternel, faisant suite à l’œuvre de l’Éternel et en commençant Son propre travail, un nouveau travail.

Extrait de « La vision de l’œuvre de Dieu (3) », La Parole apparaît dans la chair

 36 Bien que Jésus dans Son incarnation était absolument sans émotion, Il réconfortait toujours Ses disciples, subvenait à leurs besoins, les aidait et soutenait. Peu importe combien de travail Il accomplissait ou combien de souffrance Il endurait, Il n’avait jamais d’exigences excessives envers aucun, mais était toujours patient et tolérant avec leurs péchés de telle sorte que dans l’ère de la Grâce, Il était affectueusement connu comme « l’aimable Sauveur Jésus ». Pour les gens de cette époque — tout le monde —, ce que Jésus avait et était, c’était la miséricorde et la bonté. Il ne Se souvenait jamais des transgressions des gens ni ne les laissait affecter la façon dont Il les traitait. Parce que c’était une ère différente, Il donnait souvent aux hommes beaucoup à manger et à boire afin qu’ils puissent manger à satiété. Il était bienveillant avec tous ceux qui Le suivaient, guérissant les malades, chassant les démons, ressuscitant les morts. Afin que les gens croient en Lui et voient que tout ce qu’Il accomplissait était fait avec sérieux et sincérité, Il est allé jusqu’à ressusciter un cadavre en décomposition, leur montrant qu’entre Ses mains même les morts pouvaient revenir à la vie. C’est ainsi qu’Il a enduré en silence parmi eux et accompli Son œuvre de rédemption. Même avant d’être cloué sur la croix, Jésus avait déjà pris sur Lui les péchés de l’humanité et était devenu une offrande d’expiation pour l’humanité. Même avant d’être crucifié, Il avait déjà ouvert le chemin à la croix afin de racheter l’humanité. Enfin, Il fut cloué sur la croix, Il Se sacrifia pour la croix et Il donna toute Sa miséricorde, Sa bonté et Sa sainteté à l’humanité. Il persista à tolérer les gens, à ne jamais chercher la vengeance, mais à leur pardonner leurs péchés, les exhortant à se repentir, leur apprenant à avoir de la tolérance, de la patience et de l’amour, à suivre Ses traces et à se sacrifier pour la croix. Son amour pour les frères et sœurs dépassait Son amour pour Marie. Le principe de Son œuvre était de guérir les gens et de chasser les démons, tout pour Sa rédemption. Peu importe où Il allait, Il traitait tous ceux qui Le suivaient avec grâce. Il rendit les pauvres riches, Il fit marcher les boiteux, Il fit voir les aveugles et fit entendre les sourds ; Il a même invité les plus pauvres et les plus démunis, les pécheurs, à s’asseoir à la même table que Lui, sans jamais les écarter, mais en étant toujours patient, disant même : « Quand un berger perd une brebis sur cent, il quittera les quatre-vingt-dix-neuf pour chercher la brebis perdue, et quand il la trouvera il se réjouira grandement. » Il a aimé ceux qui Le suivaient comme une brebis aime ses agneaux. Quoiqu’ils fussent à Ses yeux insensés et ignorants, des pécheurs et, en outre, les sédiments de la société, Il voyait ces pécheurs que les autres méprisaient comme la prunelle de Ses yeux. Puisqu’Il les favorisait, Il a renoncé à Sa vie pour eux, comme un agneau offert sur l’autel. Il S’est mêlé à eux comme leur serviteur, les laissant L’utiliser et L’abattre, Se soumettant à eux inconditionnellement. Pour ceux qui Le suivaient, Il était l’aimable Sauveur Jésus, mais pour les pharisiens qui faisaient la leçon au peuple du haut d’un piédestal élevé, Il n’a pas montré de la miséricorde et de la bonté, mais de la répugnance et du mépris. Il ne réalisa pas beaucoup d’œuvre parmi les pharisiens ; Il leur a seulement fait la leçon quelques fois et les a réprimandés ; Il ne les a pas rachetés ni fait aucun signe et prodige parmi eux. Il a réservé Sa miséricorde et Sa bonté pour ceux qui Le suivaient, endurant pour le bien de ces pécheurs jusqu’à la fin quand Il a été cloué sur la croix, supportant chaque humiliation jusqu’à ce qu’Il eût entièrement racheté toute l’humanité. C’était la somme totale de Son œuvre.

Extrait de « La vérité sur l’œuvre à l’ère de la Rédemption », La Parole apparaît dans la chair

 37 Quand Jésus est venu, Il a aussi accompli une partie de l’œuvre de Dieu et a prononcé des paroles, mais quelle œuvre principale a-t-Il accompli ? Il accomplit principalement l’œuvre de la crucifixion. Il a pris la ressemblance de chair du péché pour achever l’œuvre de la crucifixion et racheter toute l’humanité, et c’est pour le péché de toute l’humanité qu’Il a servi de sacrifice d’expiation. C’est l’œuvre principale qu’Il a accomplie. En fin de compte, Il a désigné le chemin de la croix pour guider ceux qui sont venus plus tard. Quand Jésus est venu, c’était avant tout pour accomplir l’œuvre de rédemption. Il a racheté l’humanité tout entière et apporté l’évangile du royaume des cieux à l’homme, et, en outre, Il a apporté le royaume des cieux. En conséquence, tous ceux qui sont venus après dirent : « Nous devons emprunter le chemin de la croix et nous sacrifier pour la croix ». Bien sûr, au début, Jésus a aussi fait une autre œuvre et prononcé des paroles afin que l’homme se repente et confesse ses péchés. Mais Son ministère était quand même la crucifixion, et les trois ans et demi pendant lesquels Il a prêché la voie étaient en préparation à la crucifixion qui est venue après. Les nombreuses fois que Jésus a prié, c’était aussi pour la crucifixion. La vie d’un homme normal qu’Il a menée et les trente-trois années et demi pendant lesquelles Il a vécu sur la terre avaient principalement le but d’achever le travail de la crucifixion, de Lui donner la force et de L’habiliter à entreprendre ce travail. Par conséquent, Dieu Lui a confié le travail de la crucifixion.

Extrait de « Tout est accompli par la parole de Dieu », La Parole apparaît dans la chair

 38 À l’époque, l’œuvre de Jésus était la rédemption de toute l’humanité. Les péchés de tous ceux qui croyaient en Lui étaient pardonnés ; tant que tu croyais en Lui, Il te rachetait ; si tu croyais en Lui, tu n’étais plus un pécheur, tu avais été relevé de tes péchés. C’est cela que signifiait être sauvé et être justifié par la foi. Pourtant, il y avait un reste de rébellion et d’opposition à Dieu chez ceux qui croyaient et cela devait être retiré lentement. Le salut ne signifiait pas que l’homme avait été complètement acquis par Jésus, mais que l’homme n’appartenait plus au péché, que ses péchés avaient été pardonnés : à condition que tu croies, tu n’appartiendrais plus jamais au péché.

Extrait de « La vision de l’œuvre de Dieu (2) », La Parole apparaît dans la chair

 39 Car, à l’ère de la Grâce, les démons étaient chassés des hommes par l’imposition des mains et la prière, mais le tempérament corrompu des hommes demeurait. Les hommes étaient guéris de leurs maladies et leurs péchés étaient pardonnés, mais le travail sur la manière de chasser les tempéraments sataniques corrompus en eux n’était pas fait. Les hommes étaient sauvés et leurs péchés étaient pardonnés seulement à cause de leur foi, mais la nature pécheresse des hommes n’était pas supprimée et demeurait en lui. Les péchés des hommes étaient pardonnés par Dieu incarné, mais cela ne signifie pas que les hommes n’avaient plus de péchés en eux. Les péchés de l’homme pouvaient être pardonnés par le sacrifice d’expiation, mais l’homme était incapable de résoudre le problème de comment ne plus pécher, de rejeter à jamais sa nature pécheresse et d’être transformé. Cela lui posait toujours problème. Les péchés des hommes ont été pardonnés à cause du travail de la crucifixion de Dieu, mais les hommes ont continué à vivre selon leur vieux tempérament satanique corrompu. Donc, les hommes doivent être complètement sauvés du tempérament satanique corrompu afin que la nature pécheresse des hommes débarrasse à jamais, et ne puisse plus se développer, permettant ainsi au tempérament des hommes de changer.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (4) » », La Parole apparaît dans la chair

 40 Sans la rédemption de Jésus, l’humanité aurait à jamais vécu dans le péché et serait devenue les enfants du péché, les descendants des démons. Continuant de cette façon, Satan se serait installé sur la terre et toute la terre serait devenue sa demeure. Mais l’œuvre de la rédemption exigeait la miséricorde et la bonté envers l’humanité ; ce n’est que de cette façon que l’humanité pouvait recevoir le pardon et finalement obtenir le droit d’être rendue complète et d’être pleinement acquise. Sans cette étape de l’œuvre, le plan de gestion de six mille ans n’aurait pas pu avancer. Si Jésus n’avait pas été crucifié, s’Il avait seulement guéri les gens et exorcisé leurs démons, alors les gens n’auraient pas pu être entièrement pardonnés de leurs péchés. Pendant les trois ans et demi que Jésus a accompli Son œuvre sur terre, Il n’a achevé que la moitié de Son œuvre de rédemption ; puis, parce qu’Il a été cloué sur la croix, parce qu’Il est devenu la ressemblance de la chair pécheresse, et parce qu’Il a été livré au malin, Il a terminé l’œuvre de la crucifixion et maîtrisé le destin de l’humanité. Ce n’est qu’après avoir été livré aux mains de Satan qu’Il a racheté l’homme. Pendant trente-trois ans et demi Il a souffert sur la terre, a été ridiculisé, calomnié et abandonné, Il ne Lui est même pas resté un endroit où poser Sa tête, aucun lieu de repos ; ensuite Il fut crucifié, tout Son être, corps immaculé et innocent, cloué sur la croix et subissant toutes sortes de souffrances. Ceux qui étaient au pouvoir se sont moqués de Lui et L’ont fouetté, et les soldats Lui ont même craché à la face ; mais Il a gardé le silence et enduré jusqu’à la fin, se soumettant inconditionnellement à la mort, à la suite de quoi Il racheta toute l’humanité et fut ainsi autorisé à se reposer. L’œuvre de Jésus ne représente que l’ère de la Grâce ; elle ne représente pas l’ère de la Loi et ne remplace pas l’œuvre des derniers jours. C’est l’essence de l’œuvre de Jésus à l’ère de la Grâce, la seconde ère que l’humanité a vécue — l’ère de la Rédemption.

Extrait de « La vérité sur l’œuvre à l’ère de la Rédemption », La Parole apparaît dans la chair

 Source :  L’Église de Dieu Tout-Puissant

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