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Dieu Tout-Puissant, le glorieux vrai Dieu
6 mai 2018

Une sélection de quatre passages de la parole de Dieu sur « Le mystère de l’incarnation »

1. À l’ère de la Grâce, Jean a préparé la voie pour Jésus. Il ne pouvait pas faire l’œuvre de Dieu Lui-même et il a simplement accompli le devoir de l’homme. Bien que Jean fût le précurseur du Seigneur, il ne pouvait pas représenter Dieu ; il était seulement un homme utilisé par le Saint-Esprit. Après le baptême de Jésus, « le Saint-Esprit descendit sur lui comme une colombe ». Il a ensuite commencé Son œuvre, c’est-à-dire qu’Il a commencé à exercer le ministère du Christ. Voilà pourquoi Il a assumé l’identité de Dieu, car Il venait de Dieu. Peu importe Sa foi avant cela – peut-être parfois faible et parfois forte –, ainsi était Sa vie humaine normale avant qu’Il exerçât Son ministère. Après qu’Il fut baptisé (c’est-à-dire, oint), Il eut immédiatement la puissance et la gloire de Dieu avec Lui, et ainsi Il commença à exercer Son ministère. Il pouvait accomplir des signes et des prodiges et faire des miracles. Il avait le pouvoir et l’autorité, car Il œuvrait directement au nom de Dieu Lui-même ; Il faisait l’œuvre de l’Esprit à Sa place et exprimait la voix de l’Esprit. Il était donc Dieu Lui-même. Cela est incontestable. Jean était utilisé par le Saint-Esprit. Il ne pouvait pas représenter Dieu et il n’était pas possible qu’il représente Dieu. S’il avait voulu le faire, le Saint-Esprit ne le lui aurait pas permis, car il ne pouvait pas faire l’œuvre que Dieu Lui-même avait l’intention d’accomplir. Il est possible que sa volonté humaine ait occupé une bonne partie de son être ou qu’il y eût quelque chose de dévié en lui. En aucun cas il ne pouvait représenter Dieu directement. Ses erreurs et sa fausseté ne représentaient que lui-même, mais son travail représentait le Saint-Esprit. Tout de même, tu ne peux pas dire que tout son être représentait Dieu. Sa déviation et sa fausseté pouvaient-elles aussi représenter Dieu ? Être dans l’erreur en représentant l’homme est normal, mais, si l’on est dévié en représentant Dieu, alors est-ce que cela ne déshonorerait pas Dieu ? Cela ne serait-il pas un blasphème contre le Saint-Esprit ? Le Saint-Esprit ne permet pas facilement à l’homme de prendre la place de Dieu, même s’il est exalté par les autres. S’il n’est pas Dieu, alors il sera incapable de tenir ferme à la fin. Le Saint-Esprit ne permet pas à l’homme de représenter Dieu comme ça lui plaît ! Par exemple, c’est le Saint-Esprit qui a témoigné en faveur de Jean et c’est le Saint-Esprit qui a révélé qu’il était celui qui préparait la voie pour Jésus, mais l’œuvre accomplie en lui par le Saint-Esprit était bien mesurée. Tout ce qui était exigé de Jean fut qu’il soit le précurseur de Jésus, qu’il prépare la voie pour Lui. Autrement dit, le Saint-Esprit n’a soutenu que son travail de préparation de la voie et lui a permis de faire ce travail seulement, aucun autre. Jean représentait Élie et il représentait un prophète qui a préparé la voie. Cela a été soutenu par le Saint-Esprit ; aussi longtemps que son travail fût de préparer la voie, le Saint-Esprit le soutenait. Cependant, s’il avait prétendu être Dieu Lui-même et avait dit qu’il était venu achever l’œuvre de la rédemption, le Saint-Esprit aurait été obligé de le discipliner. Peu importe que le travail de Jean ait été très grand et que le Saint-Esprit l’ait soutenu, il est resté dans les limites. Il est vrai que son travail a été soutenu par le Saint-Esprit, mais le pouvoir qui lui a été donné en ce temps-là était limité à sa préparation de la voie. Il ne pouvait pas du tout faire aucun autre travail, car il était seulement Jean qui préparait la voie, et non pas Jésus. Par conséquent, le témoignage du Saint-Esprit est clé, mais le travail que le Saint-Esprit permet à l’homme d’accomplir est encore plus crucial. N’a-t-on pas puissamment témoigné de Jean en ce temps-là ? Son travail n’était-il pas également important ? Mais le travail qu’il a fait ne pouvait pas surpasser celui de Jésus, car il n’était qu’un homme utilisé par le Saint-Esprit et ne pouvait pas représenter directement Dieu, et par conséquent le travail qu’il a fait était limité. Après qu’il eut terminé le travail de préparer la voie, personne n’a continué à tenir compte de son témoignage, aucun nouveau travail ne l’a suivi et il a quitté la scène alors que l’œuvre de Dieu Lui-même commençait.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (1) », dans La Parole apparaît dans la chair

2. Certains sont possédés par des esprits mauvais et crient avec véhémence : « Je suis Dieu ! » Pourtant, à la fin, ils sont révélés, car ils sont dans l’erreur quant à ce qu’ils représentent. Ils représentent Satan et le Saint-Esprit ne leur prête aucune attention. Que tu t’exaltes à l’extrême ou que tu cries à tue-tête, tu es toujours un être créé et tu appartiens à Satan. Je ne crie jamais : « Je suis Dieu, Je suis le Fils bien-aimé de Dieu ! » Mais l’œuvre que Je fais est l’œuvre de Dieu. Dois-Je crier ? Aucun besoin d’exaltation. Dieu fait Sa propre œuvre Lui-même et n’a pas besoin que l’homme Lui attribue un statut ou un titre honorifique. Son œuvre est suffisante pour représenter Son identité et Son statut. Avant Son baptême, Jésus n’était-Il pas Dieu Lui-même ? N’était-Il pas la chair incarnée de Dieu ? Assurément, peut-on dire qu’Il soit devenu le Fils unique de Dieu seulement après qu’on Lui a rendu témoignage ? Un homme appelé Jésus n’existait-Il pas longtemps avant qu’Il commence Son œuvre ? Tu ne peux pas créer de nouvelles voies ou représenter l’Esprit. Tu ne peux pas exprimer l’œuvre de l’Esprit ou les paroles qu’Il dit. Tu ne peux pas faire l’œuvre de Dieu Lui-même ou celle de l’Esprit. Tu ne peux pas exprimer la sagesse, la splendeur et l’impénétrabilité de Dieu, ou tout le tempérament par lequel Dieu châtie l’homme. Ainsi, que tu essaies de prétendre être Dieu est inutile ; tu aurais seulement le nom et rien de l’essence. Dieu Lui-même est venu, mais personne ne Le reconnaît ; tout de même, Il continue Son œuvre et Il le fait en représentant l’Esprit. Que tu L’appelles homme ou Dieu, le Seigneur ou Christ, ou que tu L’appelles sœur, peu importe. Mais l’œuvre qu’Il fait est celle de l’Esprit et représente l’œuvre de Dieu Lui-même. Il ne se soucie pas du nom que l’homme Lui donne. Ce nom peut-il déterminer Son œuvre ? Peu importe ce que tu L’appelles, du point de vue de Dieu, Il est la chair incarnée de l’Esprit de Dieu ; Il représente l’Esprit et l’Esprit L’approuve. Tu ne peux pas faire place à une nouvelle ère, tu ne peux pas mener l’ère ancienne à sa fin et tu ne peux pas inaugurer une nouvelle ère ou faire un nouveau travail, alors, tu ne peux pas être appelé Dieu !

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (1) », dans La Parole apparaît dans la chair

3. Même un homme que le Saint-Esprit utilise ne peut pas représenter Dieu Lui-même. Cela ne signifie pas seulement que cet homme ne peut pas représenter Dieu, mais également que son travail ne peut pas représenter Dieu directement. Autrement dit, l’expérience de l’homme ne peut pas être du même ordre que la gestion de Dieu et elle ne peut pas représenter la gestion de Dieu. Toute l’œuvre que Dieu fait Lui-même est l’œuvre qu’Il a l’intention de faire dans Son propre plan de gestion et a un lien avec la grande gestion. Le travail accompli par l’homme (l’homme utilisé par le Saint-Esprit) approvisionne son expérience individuelle. Il découvre une nouvelle voie d’expérience différente de celle qu’ont empruntée ceux qui sont venus avant lui et il conduit ses frères et sœurs sous la direction du Saint-Esprit. Ces hommes apportent leur expérience individuelle ou les écrits spirituels des hommes spirituels. Bien que ces hommes soient utilisés par le Saint-Esprit, leur travail est sans rapport avec la grande œuvre de gestion dans le plan de six mille ans. Le Saint-Esprit les appelle simplement à différentes époques pour conduire les gens dans le courant du Saint-Esprit jusqu’à ce qu’ils aient rempli leur fonction ou que leur vie se termine. Le travail qu’ils font est seulement de préparer une voie appropriée pour Dieu Lui-même ou de continuer une partie de la gestion de Dieu Lui-même sur la terre. Par eux-mêmes, de tels hommes sont incapables de faire l’œuvre plus grande dans Sa gestion, et ils ne peuvent pas ouvrir de nouvelles voies de sortie, encore moins conclure toute l’œuvre que Dieu a faite dans l’ère précédente. Par conséquent, le travail qu’ils font ne représente qu’un être créé accomplissant sa fonction et ne peut pas représenter Dieu Lui-même exerçant Son ministère. En effet, le travail qu’ils font est différent de l’œuvre que Dieu fait Lui-même. L’œuvre d’inauguration d’une nouvelle ère ne peut pas être faite par l’homme à la place de Dieu. Elle ne peut pas être faite par aucun autre que Dieu Lui-même. Tout le travail effectué par l’homme est l’accomplissement de Son devoir en tant que créature et se fait quand l’homme est inspiré ou éclairé par le Saint-Esprit. La direction que ces hommes offrent consiste entièrement à montrer à l’homme la voie de la pratique dans la vie quotidienne et la manière dont l’homme doit agir pour être en harmonie avec la volonté de Dieu. Le travail de l’homme n’implique pas la gestion de Dieu et ne représente pas l’œuvre de l’Esprit. À titre d’exemple, le travail de Witness Lee et Watchman Nee était de montrer la voie. Que la voie fût nouvelle ou ancienne, le travail était fondé sur le principe du maintien dans les limites de la Bible. Que ce fût de restaurer l’Église locale ou de construire l’Église locale, leur travail était d’établir des Églises. Leur travail a continué l’œuvre que Jésus et Ses apôtres n’avaient pas finie ou développée davantage dans l’ère de la Grâce. Leur travail a consisté à rétablir ce que Jésus, dans Son œuvre première, avait demandé aux générations après Lui : se couvrir la tête, être baptisé, partager le pain ou boire le vin. On peut dire que leur travail était de s’en tenir à la Bible et de chercher des voies fondées sur la Bible. Ils n’ont fait aucun progrès du tout. Par conséquent, on ne peut voir dans leur travail que la découverte de nouvelles voies au sein de la Bible, ainsi que de meilleures pratiques plus réalistes. Mais on ne peut pas voir dans leur travail la volonté actuelle de Dieu, encore moins la nouvelle œuvre que Dieu projette de faire dans les derniers jours. La raison en est que leur chemin était ancien ; il n’y avait pas de progrès et rien de nouveau. Ils ont continué à honorer le fait de la crucifixion de Jésus, à observer la pratique de demander aux gens de se repentir et de confesser leurs péchés, à adhérer à la croyance que celui qui persévérera jusqu’à la fin sera sauvé et que l’homme est la tête de la femme et que la femme doit obéir à son mari. Et même plus, ils ont conservé la conception traditionnelle que les sœurs ne doivent pas prêcher, mais seulement obéir. Si une telle manière de diriger avait été continuée, le Saint-Esprit n’aurait jamais pu réaliser une nouvelle œuvre, libérer les hommes de la doctrine ou les conduire dans un royaume de liberté et de beauté. Par conséquent, cette étape de l’œuvre pour le changement des ères doit être faite et annoncée par Dieu Lui-même. Sinon, personne ne peut la faire à Sa place. Jusqu’à présent, toute l’œuvre du Saint-Esprit en dehors de ce courant est au point mort, et ceux qui ont été utilisés par le Saint-Esprit ont perdu leurs repères. Par conséquent, puisque le travail des hommes utilisés par le Saint-Esprit est différent de l’œuvre accomplie par Dieu Lui-même, leur identité et celui qu’ils représentent diffèrent également. La raison en est que l’œuvre que le Saint-Esprit a l’intention de faire est différente ; Il donne donc une identité différente et un statut différent à tous ceux qui travaillent. Les hommes utilisés par le Saint-Esprit peuvent aussi faire un travail qui est nouveau et peuvent également éliminer une partie du travail effectué dans l’ère précédente, mais leur travail ne peut pas exprimer le tempérament et la volonté de Dieu dans la nouvelle ère. Ils ne travaillent que pour défaire le travail de l’ère précédente, non pour faire un nouveau travail dans le but de représenter directement le tempérament de Dieu Lui-même. Ainsi, peu importe le nombre de pratiques dépassées qu’ils abolissent ou de nouvelles pratiques qu’ils introduisent, ils représentent toujours l’homme et les êtres créés. Lorsque Dieu Lui-même réalise une œuvre, cependant, Il ne déclare pas ouvertement l’abolition des pratiques de l’ère ancienne ni ne déclare directement le début d’une nouvelle ère. Il est direct et franc dans Son œuvre. Il est honnête dans l’exécution de Son œuvre, c’est-à-dire qu’Il exprime directement l’œuvre qu’Il a apportée, qu’Il fait directement Son œuvre comme prévu à l’origine, exprimant Son être et Son tempérament. Selon l’homme, Son tempérament et aussi Son œuvre sont différents des ères passées. Cependant, du point de vue de Dieu Lui-même, cela est simplement une continuation et un développement de Son œuvre. Lorsque Dieu Lui-même œuvre, Il exprime Sa parole et produit directement la nouvelle œuvre. Par contre, quand l’homme travaille, c’est par la délibération et l’étude, ou c’est le développement de la connaissance et de la systématisation de la pratique édifiée sur le fondement du travail des autres. Autrement dit, l’essence du travail accompli par l’homme est d’en rester à ce qui est conventionnel et « de fouler de vieux chemins dans de nouvelles chaussures ». Cela signifie que même le chemin emprunté par les hommes utilisés par le Saint-Esprit est construit sur celui que Dieu Lui-même a ouvert. Ainsi, après tout, l’homme est l’homme et Dieu est Dieu.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (1) », dans La Parole apparaît dans la chair

4. Jean est né de la promesse, tout comme Isaac était né d’Abraham. Il a préparé la voie pour Jésus et a fait beaucoup de travail, mais il n’était pas Dieu. Il est plutôt considéré comme un prophète, car il a seulement préparé la voie pour Jésus. Son travail fut également grand, et ce n’est qu’après qu’il eut préparé la voie que Jésus a commencé officiellement Son œuvre. Essentiellement, il a simplement travaillé pour Jésus et son travail a été au service de l’œuvre de Jésus. Après qu’il eut préparé la voie, Jésus a commencé Son œuvre, une œuvre qui était plus nouvelle, plus spécifique et plus en détail. Jean ne fit que l’œuvre de commencement ; la grande partie de la nouvelle œuvre a été faite par Jésus. Jean a fait également un nouveau travail, mais il n’est pas celui qui a inauguré une nouvelle ère. Jean est né de la promesse et son nom fut donné par l’ange. À l’époque, certains voulaient le nommer Zacharie comme son père, mais sa mère refusa qu’on lui donne ce nom, disant : « On ne doit pas donner ce nom à cet enfant. Il doit être appelé Jean. » Tout cela était réalisé sous la direction du Saint-Esprit. Alors pourquoi Jean n’a-t-il pas été appelé Dieu ? Le nom de Jésus aussi a été donné sous la direction du Saint-Esprit, Il est né du Saint-Esprit et par la promesse du Saint-Esprit. Jésus était Dieu, Christ et le Fils de l’homme. Le travail de Jean était grand également, mais pourquoi n’était-il pas appelé Dieu ? Quelle était la différence exactement entre l’œuvre accomplie par Jésus et le travail accompli par Jean ? La seule raison était-elle que Jean était celui qui préparait la voie pour Jésus ? Ou était-ce que cela avait été prédestiné par Dieu ? Bien que Jean ait aussi proclamé : « Repentez-vous, car le royaume des cieux est proche. », bien qu’il ait aussi prêché l’évangile du royaume des cieux, son travail n’était pas approfondi et constituait simplement un début. Par contre, Jésus a inauguré une nouvelle ère et a mené l’ancienne à sa fin, mais Il a aussi accompli la loi de l’Ancien Testament. L’œuvre qu’Il a faite était plus grande que le travail de Jean et il est venu pour racheter toute l’humanité ; Il a accompli cette étape de l’œuvre. Quant à Jean, il a seulement préparé la voie. Bien que son travail ait été grand, ses paroles nombreuses et ses disciples un grand nombre, son travail ne fit que mener l’homme à un nouveau commencement. Jamais les hommes n’ont reçu la vie, le chemin ou des vérités plus profondes de lui, et ils n’acquirent pas non plus une compréhension de la volonté de Dieu par lui. Jean était un grand prophète (Élie) qui a ouvert de nouveaux horizons pour l’œuvre de Jésus et qui a préparé l’élu ; il a été le précurseur de l’ère de la Grâce. Ces choses ne peuvent pas être perçues simplement en observant leurs apparences humaines normales. D’autant plus que Jean a fait un assez grand travail, et en outre, est né de la promesse du Saint-Esprit et son travail a été confirmé par le Saint-Esprit. À ce titre, la distinction entre leurs identités respectives ne peut se faire que par leur travail, car l’apparence d’un homme ne révèle rien de son essence, et l’homme est incapable de déterminer le véritable témoignage du Saint-Esprit. Le travail réalisé par Jean et l’œuvre réalisée par Jésus n’étaient pas semblables ; ils étaient de natures différentes. Cela devrait déterminer si oui ou non il est Dieu. L’œuvre de Jésus était de commencer, continuer, conclure et accomplir. Chacun de ces pas a été réalisé par Jésus, alors que le travail de Jean était seulement celui du commencement. Au commencement, Jésus a répandu l’évangile et a prêché la voie de la repentance, puis a continué en baptisant les hommes, guérissant les malades et chassant les démons. À la fin, Il a racheté l’humanité du péché et a terminé Son œuvre pour toute l’ère. Il a prêché aux gens et répandu l’évangile du royaume des cieux dans tous les lieux. Jean a fait la même chose, la différence étant que Jésus a inauguré une nouvelle ère et a ouvert l’ère de la Grâce pour l’homme. De Sa bouche sortaient les paroles au sujet de ce que l’homme devrait pratiquer et de la voie que l’homme devrait emprunter dans l’ère de la Grâce, et à la fin, Il a complété l’œuvre de la rédemption. Une telle œuvre ne pourrait jamais être réalisée par Jean. Et donc, c’est Jésus qui a fait l’œuvre de Dieu Lui-même, et c’est Lui qui est Dieu Lui-même et qui représente directement Dieu. Les conceptions de l’homme disent que tous ceux qui sont nés en vertu d’une promesse, nés de l’Esprit, attestés par le Saint-Esprit et qui ont ouvert de nouvelles voies, sont Dieu. Selon ce raisonnement, Jean aussi serait Dieu, et Moïse, Abraham et David…, ils seraient eux aussi Dieu. N’est-ce pas une bonne blague ?

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (1) », dans La Parole apparaît dans la chair

5. Les gens croient que Dieu fait chair ne vit assurément pas comme vit un homme normal ; ils croient qu’Il est propre sans avoir à se brosser les dents ou à se laver le visage, car Il est un être saint. Ces conceptions ne sont-elles pas purement celles de l’homme ? La Bible ne dit rien sur la vie de Jésus comme homme. Elle ne rapporte que Son œuvre, mais cela ne prouve pas qu’Il n’ait pas vécu une humanité normale ou une vie humaine normale avant l’âge de trente ans. Il a officiellement commencé Son œuvre à vingt-neuf ans, mais tu ne peux pas nier toute Sa vie comme homme avant cet âge. La Bible a simplement omis cette étape de Sa vie ; puisqu’il s’agissait de Sa vie comme un homme ordinaire et non pas l’étape de Son œuvre divine, il était inutile de la mettre par écrit. Car avant le baptême de Jésus, le Saint-Esprit n’a pas fait Son œuvre immédiatement, mais a simplement soutenu Sa vie comme un homme ordinaire jusqu’au jour où vint pour Jésus le temps d’assumer Son ministère. Bien qu’Il ait été Dieu incarné, Il a dû grandir jusqu’à la maturité comme tout homme ordinaire. Le processus de cette maturation a été omis de la Bible, car il ne pouvait aucunement aider l’homme dans la croissance de sa vie. Avant Son baptême, Il est resté inconnu et n’a fait aucun signe et aucun prodige. Ce n’est qu’après Son baptême que Jésus a commencé toute l’œuvre de la rédemption de l’humanité, une œuvre riche et abondante de grâce, de vérité, d’amour et de miséricorde. Le commencement de cette œuvre était aussi précisément le début de l’ère de la Grâce ; c’est pourquoi elle a été écrite et transmise jusqu’à aujourd’hui pour ouvrir une voie et amener tout à maturité pour que ceux de l’ère de la Grâce suivent le chemin de cette ère et suivent le chemin de la croix. Bien que des rapports à ce sujet aient été écrits par l’homme, tous sont des descriptions des faits avec seulement des erreurs mineures sur certaines questions. Quoi qu’il en soit, on ne peut nier la véracité de ces rapports. Les choses sont tout à fait factuelles ; c’est en les mettant par écrit que les hommes ont fait des erreurs. Certains peuvent dire que Jésus était un homme normal et ordinaire, alors comment se fait-il qu’Il fût capable d’opérer des signes et des prodiges ? Les quarante jours de tentation que Jésus subit sont un signe miraculeux qu’un homme ordinaire serait incapable de réaliser. Ses quarante jours de tentation reflétaient la nature de l’œuvre du Saint-Esprit ; alors comment peut-on dire qu’il n’y a pas un peu de surnaturel en Lui ? Son opération des signes et des prodiges ne prouve pas qu’Il fût un homme transcendant et un homme peu ordinaire ; c’est simplement que le Saint-Esprit œuvrait dans un homme ordinaire comme Lui, rendant donc possible qu’Il accomplisse des miracles et fasse de plus grandes œuvres. Avant que Jésus exerce Son ministère, ou, comme il est dit dans la Bible, avant que l’Esprit descende sur Lui, Jésus n’était qu’un homme ordinaire et n’avait rien de surnaturel. Avec la descente du Saint-Esprit, c’est-à-dire quand Il a commencé à exercer Son ministère, Il est devenu imprégné de surnaturel. Ainsi, l’homme en est venu à croire que la chair incarnée de Dieu n’avait pas une humanité normale et en plus il a la croyance erronée que Dieu incarné n’avait pas d’humanité. Certes, l’œuvre et tout ce que l’homme voit de Dieu sur la terre sont surnaturels. Ce que tu vois de tes yeux et ce que tu entends avec tes oreilles appartiennent au surnaturel, car Son œuvre et Ses paroles sont incompréhensibles et inaccessibles à l’homme. Si quelque chose du ciel est apporté sur la terre, comment pourrait-ce être autrement que surnaturel ? Les mystères du royaume des cieux ont été apportés sur la terre, des mystères trop merveilleux et trop sages pour que l’homme les comprenne ou les perce. N’appartenaient-ils pas tous au surnaturel ? Cependant, tu dois savoir que peu importe le caractère surnaturel, tout a été réalisé dans Son humanité normale. La chair incarnée de Dieu est imbue d’humanité, sinon Il ne serait pas la chair incarnée de Dieu.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (1) », dans La Parole apparaît dans la chair

6. L’œuvre de l’Esprit de Dieu dans la chair a aussi ses propres principes. Il ne peut entreprendre l’œuvre et assumer la tâche du Père seulement lorsqu’Il est muni de l’humanité normale. Alors seulement peut-Il commencer Son œuvre. Dans Son enfance, Jésus ne pouvait simplement rien comprendre d’une grande partie de ce qui était arrivé dans les temps anciens, et ce n’est qu’en demandant aux enseignants dans la synagogue qu’Il en est venu à comprendre. S’Il avait commencé Son œuvre aussitôt après avoir appris à parler, comment aurait-Il pu éviter de faire des erreurs ? Comment Dieu pourrait-Il faire des faux pas ? Par conséquent, Il a commencé Son œuvre seulement quand Il en fut capable ; Il n’a réalisé aucune œuvre jusqu’à ce qu’Il ait été pleinement habilité à l’entreprendre. À vingt-neuf ans, Jésus avait déjà atteint une bonne maturité et Son humanité aussi avait atteint un point suffisant pour qu’Il entreprenne l’œuvre qu’Il devait faire. C’est alors seulement que le Saint-Esprit, qui était resté caché pendant trente ans, a commencé à se révéler, et l’Esprit de Dieu a officiellement commencé à œuvrer en Lui. Jusqu’à ce moment-là, Jean s’était préparé pendant sept ans pour Lui ouvrir la voie, et, à la conclusion de son travail, il a été jeté en prison. Il revint entièrement à Jésus alors de porter le fardeau. S’Il avait entrepris cette œuvre à vingt-et-un ou vingt-deux ans, en un temps où Son humanité était encore insuffisante et où Il venait juste de commencer Sa vie comme jeune adulte, et qu’il y avait beaucoup de choses qu’Il ne comprenait toujours pas, Il aurait été incapable de prendre la situation en main. À ce moment-là, Jean avait déjà commencé son travail depuis un certain temps avant que Jésus ne commence Son œuvre, alors qu’Il avait déjà atteint un âge moyen. À cet âge, Son humanité normale avait atteint un degré de maturité suffisant pour entreprendre l’œuvre qu’Il devait faire.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (1) », dans La Parole apparaît dans la chair

7. L’œuvre de Dieu incarné dans la chair a plusieurs principes. L’homme est encore très ignorant, l’homme utilise constamment ses propres notions pour évaluer ce qu’il ne comprend pas ou pour présenter à Dieu des exigences excessives. Et même aujourd’hui, beaucoup de gens sont tout à fait inconscients que leur connaissance n’inclut rien de plus que leurs propres notions. Quels que soient l’ère ou le lieu dans lequel Dieu est incarné, les principes de Son œuvre dans la chair restent immuables. Il ne peut pas devenir chair et aussi transcender la chair dans Son œuvre ; Il peut encore moins devenir chair et quand même ne pas travailler au sein de l’humanité normale de la chair. Autrement, la signification de l’incarnation de Dieu se dissoudrait dans le néant et la Parole devenue chair n’aurait plus aucun sens. En outre, seul le Père dans le ciel (l’Esprit) est au courant de l’incarnation de Dieu, et personne d’autre, pas même Lui-même dans la chair ou les messagers du ciel. Ainsi, l’œuvre de Dieu dans la chair est encore plus normale et mieux en mesure de démontrer qu’en effet la Parole est devenue chair ; la chair signifie un homme ordinaire et normal.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (1) », dans La Parole apparaît dans la chair

8. Certains peuvent se demander pourquoi il faut que l’ère soit inaugurée par Dieu Lui-même. Un être créé ne pourrait-il pas Le remplacer ? Vous êtes tous conscients que Dieu se fait chair expressément pour inaugurer une nouvelle ère, et, bien sûr, quand Il inaugure une nouvelle ère, Il conclut l’ère précédente en même temps. Dieu est le commencement et la fin. C’est Lui-même qui met Son œuvre en mouvement, et alors, c’est Lui-même qui doit conclure l’ère précédente. Telle est la preuve qu’Il vainc Satan et conquiert le monde. Chaque fois qu’Il œuvre Lui-même parmi les hommes, c’est le début d’une nouvelle bataille. Sans le début d’une nouvelle œuvre, l’ancienne œuvre ne serait pas conclue, naturellement. Et aucune conclusion de l’ancien prouve que la bataille contre Satan n’est toujours pas terminée. C’est seulement si Dieu Lui-même vient parmi les hommes et réalise une nouvelle œuvre que l’homme peut pleinement se libérer du domaine de Satan et acquérir une nouvelle vie et un nouveau commencement. Sinon, l’homme vivra éternellement dans l’ère ancienne et vivra éternellement sous l’ancienne influence de Satan. Durant chaque ère dirigée par Dieu, une partie de l’homme est libérée, et donc, l’homme progresse vers la nouvelle ère en même temps que l’œuvre de Dieu. La victoire de Dieu est une victoire pour tous ceux qui Le suivent. Si l’humanité de la création avait la responsabilité de conclure l’ère, alors, que ce soit du point de vue de l’homme ou de Satan, ce ne serait pas plus qu’un acte qui s’oppose à Dieu ou qui Le trahit, et non un acte d’obéissance à Dieu, et ainsi le travail de l’homme deviendrait un outil pour Satan. Si l’homme obéit à Dieu et Le suit durant une ère inaugurée par Dieu Lui-même, alors seulement Satan sera pleinement convaincu, car tel est le devoir d’un être créé. Et donc Je dis que vous n’avez qu’à suivre et à obéir, et rien de plus n’est exigé de vous. Voilà ce que signifie l’affirmation que chacun doit accomplir son devoir et exercer ses fonctions. Dieu fait Sa propre œuvre et n’a pas besoin que l’homme fasse Son œuvre à Sa place. Il ne participe pas non plus au travail des êtres créés. L’homme accomplit son propre devoir et ne participe pas à l’œuvre de Dieu. Voilà la seule obéissance et la preuve que Satan est vaincu. Après que Dieu Lui-même a inauguré la nouvelle ère, Il ne descend plus Lui-même pour œuvrer parmi les hommes. C’est alors seulement que l’homme entre officiellement dans la nouvelle ère pour accomplir son devoir et réaliser sa mission comme être créé. Tels sont les principes de travail que personne ne peut transgresser. Seule cette façon de travailler est sensée et raisonnable. L’œuvre de Dieu est faite par Dieu Lui-même. C’est Lui qui met Son œuvre en mouvement et Lui aussi qui la conclut. C’est Lui qui planifie l’œuvre, qui la gère, et, même plus, c’est Lui qui la mène à son terme. Comme le dit la Bible : « Je suis le commencement et la fin ; Je suis le semeur et le moissonneur. » Tout ce qui est lié à l’œuvre de Sa gestion est fait par Dieu Lui-même. Il est le Souverain du plan de gestion de six mille ans ; nul ne peut faire Son œuvre à Sa place ou conclure Son œuvre, car c’est Lui qui tient tout dans Sa main. Puisqu’Il a créé le monde, Il conduira le monde entier à vivre dans Sa lumière, et Il conclura aussi l’ensemble de l’ère et ainsi mènera tout Son plan à terme !

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (1) », dans La Parole apparaît dans la chair

9. En ce temps-là, quand Jésus œuvrait en Judée, Il l’a fait ouvertement, mais maintenant, J’œuvre et Je parle parmi vous en secret. Les incroyants en sont complètement inconscients. Mon œuvre parmi vous est fermée à ceux de l’extérieur. Ces paroles, ces châtiments et ces jugements ne sont connus que de vous tous et de personne d’autre. Toute cette œuvre est réalisée parmi vous et n’est ouverte que pour vous ; aucun de ces incroyants ne le sait, car le temps n’est pas encore venu. Ces hommes ici, après avoir enduré le châtiment, sont presque rendus complets, mais ceux de l’extérieur n’en savent rien. Cette œuvre est beaucoup trop cachée ! Pour eux, Dieu fait chair est caché, mais pour ceux qui sont dans ce courant, on peut dire qu’Il est ouvert. Bien qu’en Dieu tout soit ouvert, tout soit révélé et tout soit libéré, cela n’est vrai que pour ceux qui croient en Lui ; en ce qui concerne le reste, les incroyants, rien n’est révélé. L’œuvre réalisée ici maintenant est strictement fermée pour empêcher qu’ils le sachent. S’ils avaient connaissance de cette œuvre, tout ce qu’ils feraient serait de la condamner et de l’assujettir à la persécution. Ils ne croiraient pas. Œuvrer dans la nation du grand dragon rouge, le plus arriéré des lieux, n’est pas une tâche facile. Si cette œuvre était faite ouvertement, il serait impossible de continuer. Cette étape de l’œuvre ne peut tout simplement pas être accomplie dans ce lieu. Si cette œuvre était accomplie ouvertement, comment pourraient-ils tolérer qu’elle progresse ? Cela n’augmenterait-il pas les risques pour l’œuvre ? Si cette œuvre n’était pas cachée, et plutôt accomplie comme à l’époque de Jésus quand Il guérissait les malades et chassait les démons d’une manière spectaculaire, alors n’aurait-elle pas été « saisie » depuis longtemps par les diables ? Pourraient-ils tolérer l’existence de Dieu ? Si Je devais entrer maintenant dans les salles pour prêcher aux hommes et les sermonner, alors n’aurais-Je pas été mis en pièces depuis longtemps ? Et si cela était arrivé, comment Mon œuvre aurait-elle pu continuer ? Des signes et des prodiges ne sont pas produits ouvertement en raison de l’occultation. Donc, Mon œuvre ne peut être ni vue, ni connue, ni découverte par les incroyants. Si cette étape de l’œuvre devait être faite de la même manière que celle de Jésus à l’ère de la Grâce, elle ne pourrait pas être aussi stable qu’elle l’est maintenant. Donc, œuvrer secrètement de cette façon est bénéfique pour vous et pour l’œuvre entière. Lorsque l’œuvre de Dieu sur la terre sera terminée, c’est-à-dire lorsque cette œuvre dans le secret sera conclue, cette étape de l’œuvre éclatera au grand jour. Tous sauront qu’il y a un groupe de vainqueurs en Chine ; tous sauront que Dieu fait chair se trouve en Chine et que Son œuvre a pris fin. Alors seulement, l’homme pensera : pourquoi la Chine n’a-t-elle pas encore démontré un déclin ou un effondrement ? Il se trouve que Dieu réalise Son œuvre en Chine personnellement et a perfectionné un groupe de gens pour en faire des vainqueurs.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (2) », dans La Parole apparaît dans la chair

10. Dieu fait chair se manifeste seulement aux gens qui Le suivent pendant qu’Il réalise personnellement Son œuvre durant cette période, et non à toutes les créatures. Il est devenu chair seulement pour terminer une étape de Son œuvre, non pour montrer Son image à l’homme. Cependant, il doit Lui-même réaliser Son œuvre. Il est donc nécessaire qu’Il le fasse dans la chair. Quand cette œuvre sera terminée, il quittera le monde des humains ; Il ne peut pas rester avec les hommes à long terme, de peur de faire obstacle à l’œuvre à venir. Ce qu’Il manifeste à la multitude est seulement Son tempérament juste et tous Ses actes, et non l’image de Son corps quand Il est devenu chair deux fois, car l’image de Dieu ne peut être révélée que par Son tempérament et ne peut pas être remplacée par l’image de Sa chair incarnée. L’image de Sa chair n’est visible qu’à un nombre limité de gens, seulement à ceux qui Le suivent pendant qu’Il œuvre dans la chair. Voilà pourquoi l’œuvre réalisée maintenant est faite en secret. De la même manière, Jésus était visible aux Juifs seulement quand Il a fait Son œuvre et ne S’est jamais révélé publiquement aux autres nations. Ainsi, une fois qu’Il a terminé Son œuvre, Il a rapidement quitté l’homme et n’est pas resté ; ensuite, ce n’est pas Lui, cette image de l’homme, qui s’est montré à l’homme, mais c’est le Saint-Esprit qui a réalisé l’œuvre directement. Une fois que l’œuvre de Dieu fait chair est entièrement terminée, Il quitte le monde des mortels et ne fait plus jamais une œuvre comme celle qu’Il a faite quand Il était dans la chair. L’œuvre par la suite est faite par le Saint-Esprit directement. Durant cette période, l’homme a peine à voir l’image de Son corps charnel ; Il ne se montre pas du tout à l’homme et reste toujours caché. Le temps est limité pour l’œuvre de Dieu fait chair ; elle est réalisée dans une ère, un temps et une nation en particulier et parmi des gens précis. Cette œuvre représente seulement l’œuvre pendant le temps de l’incarnation de Dieu et est particulière à l’ère ; elle représente l’œuvre de l’Esprit de Dieu dans une ère particulière, et non la totalité de Son œuvre. Par conséquent, l’image de Dieu fait chair ne sera pas révélée à tous les peuples. Ce qui est montré à la multitude est la justice de Dieu et Son tempérament entier, plutôt que Son image quand Il est devenu chair deux fois. Ce n’est ni l’image simple qui est révélée à l’homme ni les deux images combinées. Par conséquent, il est impératif que la chair incarnée de Dieu quitte la terre à la fin de l’œuvre qu’Il doit faire, car Il ne vient que pour faire l’œuvre qu’Il doit faire, et non pour montrer Son image aux gens. Bien que la signification de l’incarnation ait déjà été accomplie par Dieu devenant chair deux fois, Il ne se manifestera quand même pas aux nations qui ne L’ont jamais vu auparavant.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (2) », dans La Parole apparaît dans la chair

11. Une fois que l’œuvre des deux incarnations de Dieu sera terminée, Il commencera à montrer Son tempérament juste aux nations païennes, permettant à la multitude de voir Son image. Il manifestera Son tempérament, et ainsi clarifiera la fin des différentes catégories d’hommes, menant ainsi l’ère ancienne à sa fin totalement. Son œuvre dans la chair n’a pas une grande étendue (tout comme Jésus a œuvré seulement en Judée, et aujourd’hui Je n’œuvre que parmi vous) parce que Son œuvre dans la chair a des frontières et des limites. Il réalise seulement une œuvre de courte durée dans l’image d’une chair ordinaire et normale ; Il n’utilise pas cette chair incarnée pour faire l’œuvre de l’éternité ou l’œuvre de se manifester aux peuples des nations païennes. La portée de cette œuvre dans la chair doit être limitée (par exemple, travaillant seulement en Judée ou seulement parmi vous), et ensuite amplifiée par l’œuvre réalisée à l’intérieur de ces limites. Bien sûr, l’œuvre de cette amplification doit être réalisée par Son Esprit directement et ne sera plus alors l’œuvre de Sa chair incarnée, car l’œuvre dans la chair a des limites et ne se répand pas dans tous les coins de l’univers. Elle ne peut pas accomplir cela. Par l’œuvre dans la chair, Son Esprit réalise l’œuvre qui doit suivre. Ainsi, l’œuvre faite dans la chair est une œuvre d’inauguration réalisée à l’intérieur de certaines limites ; ensuite, Son Esprit continue cette œuvre et de plus Sa portée est amplifiée.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (2) », dans La Parole apparaît dans la chair

12. Dieu vient sur cette terre seulement pour faire l’œuvre de diriger l’ère, d’inaugurer une nouvelle ère et de mener l’ancienne à sa fin. Il n’est pas venu pour vivre le parcours de la vie d’un homme sur la terre, pour faire Lui-même l’expérience des joies et des peines de la vie comme homme, ou pour perfectionner une certaine personne par Sa main ou pour surveiller personnellement la croissance de quelqu’un. Cela n’est pas Son œuvre. Son œuvre est simplement d’inaugurer la nouvelle ère et de mener l’ancienne à sa fin. Autrement dit, Il inaugurera une ère en personne, mènera l’autre à sa fin en personne, et vaincra Satan en réalisant Son œuvre en personne. Chaque fois qu’Il réalise Son œuvre en personne, c’est comme s’Il met un pied sur le champ de bataille. Dans la chair, Il vainc d’abord le monde et l’emporte sur Satan ; Il prend possession de toute gloire et lève le rideau sur toute l’œuvre de deux mille ans, faisant en sorte que tous les hommes sur la terre ont le bon chemin à suivre et une vie de paix et de joie à vivre. Cependant, Dieu ne peut pas vivre longtemps avec l’homme sur la terre, car, après tout, Dieu est Dieu et n’est pas comme l’homme. Il ne peut pas vivre le temps d’une vie d’homme normal, c’est-à-dire qu’Il ne peut pas résider sur la terre comme un homme qui n’est rien d’extraordinaire, car Il n’a qu’une infime partie de l’humanité normale d’un homme ordinaire pour soutenir Sa vie humaine. En d’autres termes, comment Dieu pourrait-Il fonder une famille, avoir une carrière et élever des enfants sur la terre ? Ne serait-ce pas honteux pour Lui ? Il est doté d’une humanité normale seulement dans le but de réaliser une œuvre d’une manière normale, non pour Lui permettre d’avoir une famille et une carrière comme un homme ordinaire en aurait. Son sens normal, Son esprit normal et Sa manière normale de nourrir et de vêtir Sa chair suffisent pour prouver qu’Il a une humanité normale ; Il n’a pas besoin d’avoir une famille pour prouver qu’Il est doté d’une humanité normale. Cela n’est pas nécessaire du tout ! Dieu venant sur terre, c’est la Parole devenant chair ; Il permet simplement à l’homme de comprendre Sa parole et de voir Sa parole, c’est-à-dire qu’Il permet à l’homme de voir l’œuvre réalisée par la chair. Son intention n’est pas que les gens traitent Sa chair d’une certaine manière, mais seulement que l’homme obéisse jusqu’à la fin, qu’il obéisse à toutes les paroles qui sortent de Sa bouche et qu’il se soumette à toute l’œuvre qu’Il fait. Il œuvre simplement dans la chair : Il ne demande pas délibérément à l’homme d’exalter la grandeur et la sainteté de Sa chair, mais Il montre simplement à l’homme la sagesse de Son œuvre et toute l’autorité qu’Il exerce. Par conséquent, même s’Il a une humanité exceptionnelle, Il ne fait aucune déclaration et se concentre uniquement sur l’œuvre qu’Il doit faire. Vous devriez savoir pourquoi Dieu est devenu chair et pourtant ne se vante pas de Son humanité normale ni ne la témoigne, mais au contraire réalise simplement l’œuvre qu’Il veut faire. C’est pourquoi vous ne voyez que l’être de la divinité en Dieu fait chair ; c’est simplement parce qu’Il ne proclame pas ce qu’Il est humainement dans le but que l’homme L’imite. L’homme parle de son humanité seulement quand il dirige des hommes afin de gagner leur admiration et leur soumission et ainsi devenir un dirigeant pour les autres. Par contre, Dieu conquiert l’homme par Son œuvre seule (c’est-à-dire une œuvre inaccessible à l’homme). Il ne fait aucun doute qu’Il est admiré par l’homme ou que l’homme est poussé à L’adorer. Il ne fait qu’instiller dans l’homme un sentiment de vénération pour Lui ou un sens de Son impénétrabilité. Dieu n’a pas besoin d’impressionner l’homme. Tout ce qu’Il veut, c’est que tu Le vénères une fois que tu as été témoin de Son tempérament. L’œuvre que Dieu fait est Sa propre œuvre ; elle ne peut pas être faite par l’homme à Sa place ni ne peut être accomplie par l’homme. Seul Dieu Lui-même peut faire Sa propre œuvre et inaugurer une nouvelle ère pour conduire l’homme dans une nouvelle vie. L’œuvre qu’Il fait est de permettre à l’homme d’entrer en possession d’une nouvelle vie et d’entrer dans une nouvelle ère. Le reste de l’œuvre est confié à ces hommes d’humanité normale et qui sont admirés par les autres. Par conséquent, à l’ère de la Grâce, Il a terminé l’œuvre de deux mille ans juste en trois ans et demi pendant Ses trente-trois ans dans la chair. Quand Dieu vient sur la terre pour faire Son œuvre, Il accomplit toujours l’œuvre de deux mille ans ou d’une ère entière sur la plus courte durée de quelques années. Il ne perd pas de temps et Il ne tarde pas ; Il condense tout simplement l’œuvre de plusieurs années de sorte qu’elle est accomplie en quelques brèves années seulement. C’est parce que l’œuvre qu’Il fait en personne est entièrement destinée à ouvrir une nouvelle voie et à inaugurer une nouvelle ère.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (2) », dans La Parole apparaît dans la chair

13. L’œuvre du Dieu incarné est différente du travail des hommes que le Saint-Esprit utilise. Quand Dieu vient pour faire Son œuvre sur la terre, Il ne se soucie que de l’accomplissement de Son ministère. En ce qui a trait à toute autre question sans rapport avec Son ministère, Il n’y participe pratiquement pas, même au point de fermer les yeux. Il réalise tout simplement l’œuvre qu’Il doit faire et n’est pas le moindrement préoccupé par le travail que l’homme doit faire. Il ne fait que l’œuvre qui est liée à Son ère et au ministère qu’Il doit accomplir, comme si toutes les autres questions n’étaient pas Sa responsabilité. Il ne s’équipe pas de plus de connaissance de base sur la manière de vivre comme un homme, et Il n’apprend pas plus de compétences sociales non plus ou toute autre chose que l’homme comprend. Il ne démontre aucun souci de tout ce que devrait posséder un homme et fait tout simplement l’œuvre qui est Son devoir. Et donc, selon le point de vue de l’homme, il manque tellement au Dieu incarné qu’Il ferme les yeux sur beaucoup de choses qu’un homme devrait avoir et n’a aucune compréhension de telles questions. Des choses telles qu’une connaissance générale de la vie ainsi que les principes de conduite et d’association avec les autres semblent n’avoir aucun rapport avec Lui. Tout de même, tu ne peux simplement pas percevoir chez le Dieu incarné le moindre indice d’anormalité. Autrement dit, Son humanité soutient seulement Sa vie comme un homme ordinaire et le raisonnement normal de Son cerveau, Lui donnant la capacité de discerner entre le bien et le mal. Cependant, Il n’est équipé de rien de plus, tout est ce que les hommes (les êtres créés) seulement devraient posséder. Dieu devient chair seulement pour accomplir Son propre ministère. Son œuvre vise une ère entière, non une personne ou un endroit spécifique, mais l’univers entier. C’est la visée de Son œuvre et le principe qui fonde Son œuvre. Personne ne peut modifier cela et l’homme ne peut pas y prendre part. Chaque fois que Dieu Se fait chair, Il apporte avec Lui l’œuvre de cette ère-là et n’a aucune intention de vivre aux côtés des hommes pendant vingt, trente, quarante, voire soixante-dix, quatre-vingts ans pour qu’ils puissent mieux Le comprendre et avoir une intuition à Son sujet. Cela n’est pas nécessaire ! Faire cela n’approfondirait pas du tout la connaissance que l’homme a du tempérament inhérent de Dieu ; au contraire, cela ne ferait qu’augmenter ses notions et fossiliserait ses notions et ses pensées. Et donc, il vous incombe à tous de comprendre exactement ce qu’est l’œuvre du Dieu incarné. Se pourrait-il que vous ne compreniez pas Mes paroles : « Je ne suis pas venu pour expérimenter la vie d’un homme ordinaire » ? Avez-vous oublié les paroles suivantes : « Dieu ne vient pas sur la terre pour vivre la vie d’un homme ordinaire » ? Vous ne comprenez pas le dessein de Dieu en devenant chair ni ne connaissez le sens de : « Comment Dieu pouvait-Il venir sur la terre avec l’intention de faire l’expérience d’un être créé ? » Dieu ne vient sur terre que pour achever Son œuvre, et donc Son œuvre sur terre est de courte durée. Il ne vient pas sur terre avec l’intention de faire en sorte que l’Esprit de Dieu forme Son corps charnel en un homme supérieur qui dirigera l’Église. Quand Dieu vient sur la terre, c’est la Parole qui devient chair ; l’homme, cependant, ne connaît pas Son œuvre et forcément Lui attribue des choses. Mais vous devriez tous savoir que Dieu est la « Parole devenue chair », non un corps charnel qui a été formé par l’Esprit de Dieu pour jouer temporairement le rôle de Dieu. Dieu Lui-même n’est pas le produit d’une formation, mais Il est la Parole devenue chair, et aujourd’hui, Il réalise officiellement Son œuvre parmi vous tous.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (3) », dans La Parole apparaît dans la chair

14. Dieu devient chair seulement pour diriger l’ère et mettre une nouvelle œuvre en mouvement. Vous devez comprendre ce point. C’est très différent de la fonction de l’homme, et les deux ne peuvent pas être mentionnés dans le même souffle. L’homme a besoin d’une longue période de formation et de perfectionnement avant qu’il puisse être utilisé pour réaliser un travail, et le genre d’humanité requise est d’un ordre particulièrement élevé. Non seulement l’homme doit-il être en mesure de maintenir son pouvoir de raisonnement, qui est humain et normal, mais il doit en outre comprendre un grand nombre des principes et des règles régissant sa conduite par rapport aux autres, et en plus doit s’investir à étudier encore davantage la sagesse de l’homme et la connaissance éthique de l’homme. C’est ce qui devrait faire partie de l’équipement de l’homme. Cependant, cela ne vaut pas pour Dieu fait chair, car Son œuvre ne représente pas l’homme ni n’est le travail de l’homme ; elle est plutôt une expression directe de Son être et une mise en application directe de l’œuvre qu’Il doit faire. (Naturellement, Son œuvre est réalisée au bon temps, et non légèrement, au hasard, et commence quand c’est le temps d’accomplir Son ministère.) Il ne participe pas à la vie de l’homme ou au travail de l’homme, c’est-à-dire que Son humanité n’a rien de tout cela (bien que cela n’a aucune incidence sur Son œuvre). Il exerce Son ministère seulement quand Son temps pour le faire est venu ; quel que soit Son statut, Il fonce tout simplement, accomplissant l’œuvre qu’Il doit faire. Quelle que soit la connaissance des hommes à Son sujet ou quelles que soient leurs opinions, elles n’ont pas d’influence sur Son œuvre. Par exemple, quand Jésus accomplissait Son œuvre, personne ne savait exactement qui Il était, mais Il poursuivait Son œuvre, tout simplement. Rien de tout cela ne retardait l’accomplissement de l’œuvre qu’Il devait faire. Par conséquent, au début, Il n’a pas confessé ni proclamé Son identité et a seulement demandé aux hommes qu’ils Le suivent. Naturellement, cela n’était pas seulement à cause de l’humilité de Dieu ; c’était aussi la manière de Dieu d’œuvrer dans la chair. Il ne pouvait œuvrer que de cette façon, car l’homme ne pouvait pas Le reconnaître à l’œil nu. Et même si l’homme L’avait reconnu, l’homme n’aurait pas pu collaborer à Son œuvre. En outre, Il n’est pas devenu chair pour que l’homme connaisse Sa chair ; c’était afin d’accomplir une œuvre et d’exercer Son ministère. Pour cette raison, Il n’accordait aucune importance à faire connaître Son identité. Après qu’Il a terminé toute l’œuvre qu’Il devait faire, l’homme a naturellement compris toute Son identité et Son statut. Dieu fait chair garde le silence et ne fait jamais de proclamations. Il ne prête aucune attention aux hommes ou à leur manière de Le suivre, mais continue tout simplement à exercer Son ministère et à réaliser l’œuvre qu’Il doit faire. Personne ne peut faire obstacle à Son œuvre. Quand viendra le temps qu’il conclue Son œuvre, il est certain qu’elle sera conclue et menée à sa fin, et personne ne peut obliger à ce que ce soit autrement. C’est seulement après qu’Il aura quitté les hommes à la fin de Son œuvre que l’homme comprendra l’œuvre qu’Il fait, pas tout à fait clairement toutefois. L’homme aura besoin de beaucoup de temps pour bien comprendre Son intention quand Il réalisait Son œuvre au début. En d’autres termes, l’œuvre de l’ère du Dieu incarné est divisée en deux parties. Une partie comporte l’œuvre que la chair incarnée de Lui-même accomplit et les paroles que la chair incarnée de Dieu Lui-même dit. Une fois que le ministère de Sa chair est entièrement accompli, l’autre partie de l’œuvre doit être effectuée par ceux qui sont utilisés par le Saint-Esprit. C’est alors que l’homme doit remplir sa fonction, car Dieu a déjà ouvert la voie et elle doit être empruntée par l’homme lui-même. Autrement dit, Dieu fait chair réalise une partie de l’œuvre et ensuite elle est continuée par le Saint-Esprit et ceux que le Saint-Esprit utilise. Alors l’homme devrait connaître quelle est l’œuvre qui doit être principalement réalisée par Dieu fait chair dans cette étape et il doit comprendre exactement ce que signifie Dieu fait chair et aussi ce qu’est l’œuvre qu’Il doit faire, plutôt que de présenter à Dieu des exigences selon les exigences présentées à l’homme. En cela se trouvent l’erreur de l’homme, ainsi que sa notion, et en plus, sa désobéissance.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (3) », dans La Parole apparaît dans la chair

15. Dieu ne devient pas chair pour permettre à l’homme de connaître Sa chair ou pour permettre à l’homme de faire la différence entre la chair de Dieu incarné et celle de l’homme ; Dieu ne devient pas chair non plus pour améliorer le discernement de l’homme, encore moins pour amener l’homme à adorer la chair incarnée de Dieu, gagnant ainsi une grande gloire. Rien de tout cela n’est la volonté originelle de Dieu en devenant chair. Dieu ne devient pas chair non plus pour condamner l’homme, pour volontairement révéler l’homme ou pour rendre les choses difficiles à l’homme. Rien de tout cela n’est la volonté originelle de Dieu. Chaque fois que Dieu se fait chair, c’est un genre d’œuvre inévitable. C’est pour Sa plus grande œuvre et Sa plus grande gestion qu’Il fait cela, et non pour les raisons que l’homme imagine. Dieu vient sur la terre seulement tel que Son œuvre l’exige, et seulement tel que nécessaire. Il ne vient pas sur la terre pour vagabonder sur la terre, mais pour réaliser l’œuvre qu’Il doit faire. Sinon, pourquoi assumerait-Il un si lourd fardeau et prendrait-Il de si grands risques pour réaliser cette œuvre ? Dieu devient chair seulement quand il le faut, et toujours avec une signification unique. Si ce n’était que pour permettre aux hommes de jeter un coup d’œil sur Lui et d’ouvrir leurs horizons, alors, de certitude absolue, Il ne viendrait jamais chez les hommes d’une manière si frivole. Il vient sur la terre pour Sa gestion et Sa plus grande œuvre, et pour être en mesure d’acquérir un plus grand nombre d’hommes. Il vient représenter l’ère, Il vient pour vaincre Satan, et Il prend une chair pour vaincre Satan. Même plus, Il vient guider tous les hommes à vivre leur vie. Tout cela concerne Sa gestion et concerne l’œuvre de tout l’univers. Si Dieu s’était fait chair simplement pour permettre à l’homme de connaître Sa chair et pour ouvrir les yeux de l’homme, alors pourquoi ne parcourrait-Il pas toutes les nations ? N’est-ce pas une question trop facile ? Mais Il n’a pas fait cela, au contraire Il a choisi un lieu approprié où s’installer et commencer l’œuvre qu’Il devait faire. Seule cette chair elle-même a une grande signification. Il représente une ère entière et réalise aussi l’œuvre d’une ère entière ; Il mène l’ère ancienne à sa fin et aussi inaugure la nouvelle ère. Tout cela est important pour la gestion de Dieu, et c’est la signification d’une étape de l’œuvre que Dieu vient sur terre pour réaliser.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (3) », dans La Parole apparaît dans la chair

16. Tout le tempérament de Dieu a été révélé au cours du plan de gestion de six mille ans. Il n’est pas révélé seulement dans l’ère de la Grâce, ni seulement dans l’ère de la Loi, ou encore moins seulement dans cette période des derniers jours. L’œuvre accomplie dans les derniers jours représente le jugement, la colère et le châtiment. L’œuvre accomplie dans les derniers jours ne peut pas remplacer l’œuvre de l’ère de la Loi ou de l’ère de la Grâce. Cependant, les trois étapes, étroitement liées entre elles, ne forment qu’une seule entité et les trois sont l’œuvre accomplie par un seul Dieu. Naturellement, l’exécution de cette œuvre est divisée en ères distinctes. L’œuvre des derniers jours mène tout à sa fin ; celle de l’ère de la Loi est le commencement et celle de l’ère de la Grâce accomplit la rédemption. En ce qui concerne les visions de l’œuvre durant tout ce plan de gestion de six mille ans, personne ne peut en avoir un aperçu ou une compréhension. Ces visions sont toujours restées des mystères. Dans les derniers jours, seule l’œuvre de la parole est faite pour inaugurer l’ère du Règne, mais elle ne représente pas toutes les ères. Les derniers jours ne sont pas plus que les derniers jours et pas plus que l’ère du Règne, ils ne représentent pas l’ère de la Grâce ou l’ère de la Loi. Les derniers jours ne sont que le temps où toute l’œuvre du plan de gestion de six mille ans vous est révélée. C’est le dévoilement du mystère. Aucun homme ne peut dévoiler ce genre de mystère. Peu importe la compréhension que les hommes ont de la Bible, elle ne reste rien de plus que des mots, car les hommes ne comprennent pas l’essence de la Bible. Quand les hommes lisent la Bible, ils peuvent comprendre quelques vérités, expliquer certains mots ou soumettre quelques passages et citations célèbres à leur examen insignifiant, mais ils ne seront jamais en mesure de dégager le sens de ces paroles, car les hommes ne voient que des paroles sans vie, et non les scènes de l’œuvre de l’Éternel et de Jésus, et les hommes sont incapables de percer le mystère de cette œuvre. Par conséquent, le mystère du plan de gestion de six mille ans est le plus grand mystère, le plus profondément caché et tout à fait incompréhensible par l’homme. Personne ne peut directement comprendre la volonté de Dieu sauf s’Il l’explique Lui-même aux hommes et leur en ouvre le sens, sinon, elle restera à jamais une énigme et un mystère scellé pour les hommes. Oublions les hommes du monde religieux. Si l’on ne vous avait pas renseigné aujourd’hui, vous ne comprendriez pas non plus.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (4) », dans La Parole apparaît dans la chair

17. Le travail des derniers jours est la dernière étape des trois. C’est l’œuvre d’une autre nouvelle ère et ne représente pas toute l’œuvre de gestion. Le plan de gestion de six mille ans est divisé en une œuvre à trois étapes. Aucune étape par elle-même ne peut représenter l’œuvre des trois ères ; elle peut seulement représenter une partie d’un tout. Le nom de l’Éternel ne peut pas représenter tout le tempérament de Dieu. Qu’Il ait réalisé Son œuvre dans l’ère de la Loi ne prouve pas que Dieu puisse être Dieu seulement sous la garde de la loi. L’Éternel a établi des lois pour les hommes et leur a transmis des commandements, demandant aux hommes de construire le temple et des autels ; l’œuvre qu’Il a faite ne représente que l’ère de la Loi. Cette œuvre qu’Il a faite ne prouve pas que Dieu soit seulement un Dieu qui demande à l’homme d’observer la loi, ou qu’Il soit le Dieu dans le temple ou qu’Il soit le Dieu devant l’autel. Dire cela serait faux. L’œuvre faite selon la loi ne peut représenter qu’une seule ère. Par conséquent, si Dieu avait seulement fait l’œuvre dans l’ère de la Loi, les hommes limiteraient Dieu à la définition suivante et diraient : « Dieu est le Dieu dans le temple, et pour servir Dieu, nous devons porter des vêtements sacerdotaux et entrer dans le temple. » Si l’œuvre de l’ère de la Grâce n’avait jamais été réalisée et que l’ère de la Loi avait continué jusqu’à présent, les hommes ne sauraient pas que Dieu est aussi miséricordieux et aimant. Si l’œuvre de l’ère de la Loi n’avait pas été faite, et seulement celle de l’ère de la Grâce avait été faite, les hommes sauraient seulement que Dieu peut racheter les hommes et pardonner les péchés des hommes. Les hommes sauraient seulement qu’Il est saint et innocent, et qu’Il peut se sacrifier et être crucifié pour les hommes. L’homme ne saurait que cela et n’aurait aucune compréhension de tout le reste. Donc, chaque ère représente une partie du tempérament de Dieu. L’ère de la Loi représente certains aspects du tempérament de Dieu, l’ère de la Grâce certains aspects, puis l’ère actuelle d’autres aspects. Le tempérament de Dieu ne peut être pleinement révélé que par la combinaison des trois étapes. Quand les hommes en arrivent à connaître les trois étapes, alors seulement peuvent-ils le comprendre pleinement. Aucune des trois étapes ne peut être omise. Vous verrez le tempérament de Dieu dans sa totalité seulement une fois que vous connaîtrez ces trois étapes de l’œuvre. L’achèvement de l’œuvre de Dieu à l’ère de la Loi ne prouve pas qu’Il soit seulement le Dieu sous la garde de la loi, et l’achèvement de Son œuvre de rédemption ne signifie pas que Dieu rachètera toujours l’humanité. Toutes ces conclusions viennent des hommes. L’ère de la Grâce étant arrivée à sa fin, tu ne peux pas dire alors que Dieu appartient seulement à la croix et que seule la croix représente le salut de Dieu. Si tu dis cela, tu définis Dieu. Dans l’étape actuelle, Dieu fait principalement l’œuvre de la parole, mais tu ne peux pas dire alors que Dieu n’a jamais été miséricordieux envers les hommes et qu’Il n’a apporté que le châtiment et le jugement. L’œuvre des derniers jours dévoile l’œuvre de l’Éternel et de Jésus et tous les mystères que les hommes ne comprennent pas afin de révéler la destination et la fin de l’humanité et de conclure toute l’œuvre du salut parmi les hommes. Cette étape de l’œuvre dans les derniers jours mène tout à sa fin. Tous les mystères que les hommes ne comprennent pas doivent être dévoilés pour permettre aux hommes de les sonder à fond et d’avoir une compréhension totalement claire dans leur cœur. Alors seulement la race humaine peut être divisée selon le genre. Après que le plan de gestion de six mille ans aura été achevé, alors seulement les hommes comprendront le tempérament de Dieu dans sa totalité, car Sa gestion aura alors pris fin.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (4) », dans La Parole apparaît dans la chair

18. Ce qui est exigé de l’homme aujourd’hui est différent de ce qui était exigé dans le passé et encore plus différent de ce qui était exigé de l’homme à l’ère de la Loi. Or, qu’est-ce qui était exigé de l’homme sous la garde de la loi lorsqu’Il accomplissait Son œuvre en Israël ? On ne lui demandait rien de plus que d’observer le sabbat et les lois de l’Éternel. Personne ne devait travailler le jour du sabbat ou transgresser les lois de l’Éternel. Mais ce n’est pas ainsi maintenant. Le jour du sabbat, l’homme travaille, se rassemble et prie comme d’habitude, et aucune restriction ne lui est imposée. Durant l’ère de la Grâce, les hommes devaient être baptisés, et en plus, on leur demandait de jeûner, de rompre le pain, de boire du vin, de se couvrir la tête et de laver les pieds des autres. Maintenant, ces règles ont été supprimées, mais de plus grandes exigences sont faites à l’homme, car l’œuvre de Dieu s’approfondit continuellement et l’entrée de l’homme atteint toujours des hauteurs plus élevées. Dans le passé, Jésus imposait les mains sur les hommes et priait, mais, maintenant que tout a été dit, quelle est l’utilisation de l’imposition des mains ? Les paroles seules peuvent obtenir des résultats. Quand Il imposait les mains sur les hommes dans le passé, c’était pour bénir les hommes et les guérir de leurs maladies. Le Saint-Esprit travaillait de cette manière en ce temps-là, mais plus maintenant. Aujourd’hui, le Saint-Esprit utilise des paroles dans Son œuvre pour obtenir des résultats. Ses paroles vous ont été exprimées clairement et vous devriez les mettre en pratique tout comme on vous l’a dit. Ses paroles sont Sa volonté ; elles sont l’œuvre qu’Il veut faire. Par Ses paroles, tu comprendras Sa volonté et ce qu’Il te demande d’atteindre. Tout simplement, tu mets Ses paroles en pratique directement, sans la nécessité de l’imposition des mains. Certains peuvent dire : « Impose-moi les mains ! Impose-moi les mains afin que je puisse recevoir Ta bénédiction et que j’aie part avec Toi. » Ce sont toutes des pratiques dépassées, désuètes maintenant, car l’ère a changé. Le Saint-Esprit œuvre en fonction de l’ère, pas seulement au hasard ni conformément à des règles établies. L’ère a changé et une nouvelle ère doit apporter une nouvelle œuvre. C’est vrai pour toutes les étapes de l’œuvre et donc Son œuvre ne se répète jamais. À l’ère de la Grâce, une grande partie de l’œuvre de Jésus était de guérir les malades, de chasser les démons, d’imposer les mains sur l’homme pour prier pour lui et de bénir l’homme. Cependant, continuer à faire la même chose ne servirait à rien aujourd’hui. Le Saint-Esprit a fait Son œuvre de cette façon en ce temps-là, car c’était l’ère de la Grâce, et il y avait suffisamment de grâce pour que l’homme en bénéficie. L’homme n’avait aucun prix à payer et pouvait recevoir la grâce tant qu’il avait la foi. Tous furent traités très aimablement. Maintenant, l’ère a changé et l’œuvre de Dieu a encore progressé. C’est par le châtiment et le jugement que la rébellion de l’homme et les choses impures à l’intérieur de l’homme seront chassées. Comme c’était l’étape de la rédemption, il incombait à Dieu d’œuvrer de cette manière, accordant assez de grâce pour que les hommes en profitent, afin que les hommes soient rachetés du péché et que, par la grâce, leurs péchés soient pardonnés. La raison d’être de l’étape actuelle, c’est de révéler les iniquités au sein de l’homme par le châtiment, le jugement, la correction verbale, ainsi que par la discipline et la révélation des paroles, afin que l’humanité puisse ensuite être sauvée. Cette œuvre est plus en profondeur que la rédemption. Dans l’ère de la Grâce, l’homme a suffisamment tiré profit de la grâce ; maintenant que l’homme a déjà expérimenté cette grâce, il n’a plus besoin d’en tirer profit. Cette œuvre est maintenant dépassée et ne doit plus être faite. Maintenant, l’homme est sauvé par le jugement de la parole. Après que l’homme est jugé, châtié et épuré, son tempérament se trouve modifié. N’est-ce pas grâce aux paroles que J’ai dites ? Chaque étape de l’œuvre est faite en conformité avec le progrès de l’humanité tout entière et avec l’ère. Toute l’œuvre a une signification ; elle est faite entièrement pour le salut final, afin que l’humanité ait une bonne destination, et pour que les hommes soient divisés en fonction de leur genre à la fin.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (4) », dans La Parole apparaît dans la chair

19. L’œuvre des derniers jours est de prononcer des paroles. Les paroles peuvent effectuer de grands changements dans l’homme. Les changements effectués maintenant dans ces gens quand ils reçoivent ces paroles sont beaucoup plus grands que ceux des gens à l’ère de la Grâce quand ils voyaient les signes et les prodiges, car, à l’ère de la Grâce, les démons étaient chassés des hommes par l’imposition des mains et la prière, mais les tempéraments corrompus des hommes demeuraient toujours. Les hommes étaient guéris de leurs maladies et leurs péchés étaient pardonnés, mais le travail sur la manière de chasser les tempéraments sataniques corrompus en eux n’était pas encore fait. Les hommes étaient sauvés et leurs péchés étaient pardonnés seulement à cause de leur foi, mais la nature pécheresse des hommes n’était pas extirpée et demeurait toujours en lui. Les péchés des hommes étaient pardonnés par Dieu incarné, mais cela ne signifie pas que les hommes n’avaient plus de péchés en eux. Les péchés de l’homme pouvaient être pardonnés par le sacrifice d’expiation, mais quant à la manière d’en arriver à ne plus pécher et la manière d’extirper sa nature pécheresse et de la transformer, cela restait un problème insoluble. Les péchés des hommes ont été pardonnés à cause de l’œuvre de la crucifixion de Dieu, mais les hommes ont continué à vivre selon leur tempérament satanique corrompu du passé. Donc, les hommes doivent être complètement sauvés de leur tempérament satanique corrompu afin que leur nature pécheresse soit extirpée à jamais, et ne puisse plus se développer, permettant ainsi au tempérament des hommes d’être transformé. Cela exige que les hommes comprennent le chemin de la croissance dans la vie, la voie de la vie et la façon de changer leur tempérament. Cela exige aussi que les hommes agissent conformément à cette voie afin que leur tempérament puisse changer progressivement, que les hommes puissent vivre sous l’éclat de la lumière, qu’ils puissent faire toutes choses en accord avec la volonté de Dieu, qu’ils puissent rejeter leur tempérament satanique corrompu, qu’ils puissent se dégager de l’influence des ténèbres de Satan et ainsi sortir complètement du péché. Alors seulement les hommes recevront le salut en plénitude. Lorsque Jésus accomplissait Son œuvre, les hommes Le connaissaient encore de manière vague et imprécise. Les hommes ont toujours cru qu’Il était le fils de David et ont proclamé qu’Il était un grand prophète, le Seigneur bienveillant qui rachetait les péchés des hommes. Certains, grâce à leur foi, ont été guéris simplement en touchant le bord de Son vêtement ; les aveugles ont retrouvé la vue et même les morts sont revenus à la vie. Cependant, les hommes ne pouvaient pas découvrir le tempérament satanique corrompu profondément enraciné en eux ni ne savaient comment le chasser. Les hommes ont reçu de nombreuses grâces comme la paix et le bonheur de la chair, la bénédiction de toute la famille à cause de la foi d’un seul, la guérison des maladies et ainsi de suite. Le reste relevait des bonnes actions des hommes et de leur apparence pieuse ; si les hommes pouvaient vivre sur ces fondations, alors ils étaient considérés comme de bons croyants. Seuls de tels croyants pouvaient entrer au ciel après la mort, ce qui signifie qu’ils étaient sauvés. Mais, durant leur vie, ces gens ne comprenaient pas du tout la voie de la vie. Ils ne faisaient que commettre des péchés pour ensuite les confesser, répétant constamment le cycle sans faire aucun progrès vers le changement de leur tempérament ; telle était la condition des hommes à l’ère de la Grâce. Les hommes ont-ils été complètement sauvés ? Non ! Par conséquent, après que cette étape est terminée, reste le travail de jugement et de châtiment. Cette étape purifie les hommes par la parole pour donner à l’homme un chemin à suivre. Cette étape ne serait pas fructueuse ou signifiante si elle continuait l’expulsion des démons, car la nature pécheresse des hommes ne serait pas extirpée et les hommes se limiteraient au pardon des péchés. Par le sacrifice d’expiation, les péchés des hommes ont été pardonnés, car l’œuvre de la crucifixion a déjà pris fin et Dieu l’a emporté sur Satan. Mais le tempérament corrompu des hommes demeure en eux et les hommes peuvent encore pécher et résister à Dieu ; Dieu n’a pas acquis l’humanité. Voilà pourquoi à cette étape de l’œuvre Dieu utilise la parole pour dévoiler le tempérament corrompu des hommes et les faire pratiquer en conformité avec la bonne voie. Cette étape est plus signifiante que la précédente, et plus fructueuse, car c’est maintenant la parole qui approvisionne directement la vie des hommes et qui permet au tempérament des hommes d’être complètement renouvelé ; c’est une étape beaucoup plus complète de l’œuvre. Par conséquent, l’incarnation dans les derniers jours a achevé la signification de l’incarnation de Dieu et a terminé complètement le plan de gestion de Dieu pour sauver l’humanité.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (4) », dans La Parole apparaît dans la chair

20. Le salut des hommes par Dieu n’est pas fait directement par les moyens de l’Esprit ou par l’identité de l’Esprit, car les hommes ne peuvent pas toucher Son Esprit, Le voir, ni se rapprocher de Lui. S’Il tentait de sauver les hommes directement à la manière de l’Esprit, les hommes seraient incapables de recevoir Son salut. Si Dieu ne prenait pas la forme extérieure d’un homme créé, les hommes seraient incapables de recevoir ce salut, car ils ne peuvent pas du tout s’approcher de Lui, tout comme personne ne pouvait s’approcher de la nuée de l’Éternel. Ce n’est qu’en devenant un être humain créé, c’est-à-dire que ce n’est qu’en mettant Sa parole dans la chair qu’Il prendra, qu’Il peut imprégner de Sa parole tous ceux qui Le suivent. Alors seulement les hommes peuvent voir et entendre Sa parole par eux-mêmes, et en plus posséder Sa parole, et ainsi être complètement sauvés. Si Dieu ne devenait chair, aucun homme de chair et de sang ne pourrait recevoir un si grand salut, et aucun homme ne serait sauvé. Si l’Esprit de Dieu travaillait directement parmi les hommes, tous les hommes seraient foudroyés ou complètement capturés par Satan, parce que les hommes sont incapables de s’associer avec Dieu.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (4) », dans La Parole apparaît dans la chair

21. La première incarnation avait pour but de racheter les hommes du péché, de les racheter par le corps charnel de Jésus, c’est-à-dire que depuis la croix, Il a sauvé les hommes, mais le tempérament satanique corrompu est resté en eux. Le but de la deuxième incarnation n’est plus de servir de sacrifice d’expiation, mais de sauver complètement ceux qui ont été rachetés du péché. C’est ainsi pour que ceux qui sont pardonnés puissent être délivrés de leurs péchés, complètement purifiés et, en obtenant un changement de tempérament, se dégager de l’influence des ténèbres de Satan et retourner devant le trône de Dieu. L’homme peut être pleinement sanctifié seulement de cette manière. À l’ère de la Grâce après que l’ère de la Loi prit fin, Dieu a commencé l’œuvre du salut qui se continue jusqu’aux derniers jours quand Il purifiera complètement l’humanité en jugeant et châtiant les hommes pour leur rébellion. Alors seulement Dieu achèvera Son œuvre du salut et entrera dans le repos. Par conséquent, dans les trois étapes de l’œuvre, Dieu s’est fait chair seulement deux fois pour réaliser Lui-même Son œuvre parmi les hommes. La raison en est qu’une seule des trois étapes est destinée à guider les hommes dans leur vie, alors que les deux autres sont l’œuvre du salut. Ce n’est qu’en devenant chair que Dieu peut vivre aux côtés des hommes, faire l’expérience de la souffrance du monde et vivre dans un corps charnel ordinaire. Seulement de cette manière peut-Il approvisionner les hommes de la parole pratique dont ils ont besoin en tant qu’êtres créés. Les hommes reçoivent le salut complet de Dieu grâce à l’incarnation de Dieu, et non directement du ciel qui répond à leurs prières, car, les hommes étant charnels, ils sont incapables de voir l’Esprit de Dieu et encore moins capables de s’approcher de Son Esprit. Les hommes ne peuvent s’associer qu’avec la chair incarnée de Dieu et c’est seulement ainsi que les hommes peuvent comprendre toutes les paroles et toutes les vérités et recevoir la plénitude du salut. La seconde incarnation suffira pour débarrasser les hommes de leurs péchés et pour pleinement les purifier. Par conséquent, la seconde incarnation mènera à sa fin toute l’œuvre de Dieu dans la chair et complètera la signification de l’incarnation de Dieu. Dès lors, l’œuvre de Dieu dans la chair aura entièrement pris fin. Après la seconde incarnation, Il ne deviendra pas chair de nouveau pour Son œuvre, car toute Sa gestion aura pris fin. L’incarnation des derniers jours aura pleinement gagné Son peuple élu et tous les hommes dans les derniers jours auront été classés selon leur genre. Il ne fera plus l’œuvre du salut et Il ne reviendra plus dans la chair pour réaliser aucune œuvre.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (4) », dans La Parole apparaît dans la chair

22. Dans l’œuvre des derniers jours, la parole est plus puissante que la manifestation des signes et des prodiges, et l’autorité de la parole surpasse celle des signes et des prodiges. La parole révèle tous les tempéraments corrompus profondément enfouis dans le cœur de l’homme. Tu es incapable de les reconnaître par toi-même. Quand ils te seront exposés par la parole, tu les découvriras naturellement ; tu ne pourras pas les nier et tu seras tout à fait convaincu. N’est-ce pas l’autorité de la parole ? C’est le résultat de l’œuvre de la parole aujourd’hui. Par conséquent, les hommes ne peuvent pas être complètement sauvés de leurs péchés par la guérison de la maladie et l’expulsion des démons, et ne peuvent pas non plus être entièrement rendus complets par la manifestation de signes et de prodiges. L’autorité de guérir et de chasser les démons ne donne aux hommes que la grâce, mais la chair des hommes appartient toujours à Satan et le tempérament satanique corrompu reste encore dans l’homme. En d’autres termes, ce qui n’a pas été purifié appartient encore au péché et à l’infamie. Ce n’est qu’après avoir été purifié par le biais des paroles que l’homme peut être gagné par Dieu et être sanctifié. Quand les démons étaient chassés des hommes et les hommes rachetés, cela signifie seulement que les hommes étaient tirés des mains de Satan et remis à Dieu. Cependant, sans avoir été purifiés ou transformés par Dieu, ils restent des hommes corrompus. La saleté, l’opposition et la rébellion existent toujours dans les hommes ; les hommes ne sont retournés à Dieu que par Sa rédemption, mais ils n’ont pas la moindre connaissance de Dieu et s’opposent encore à Lui et se rebellent contre Lui. Avant que les hommes aient été rachetés, Satan les avait déjà remplis de ses poisons et, après des milliers d’années de corruption par Satan, les hommes ont en eux une nature établie qui s’oppose à Dieu. Par conséquent, lorsque les hommes ont été rachetés, ce ne fut rien de plus qu’un cas de rédemption payant un prix élevé pour racheter l’homme alors que sa nature empoisonnée à l’intérieur n’était pas éliminée. L’homme qui est tellement souillé doit subir une transformation avant d’être digne de servir Dieu. Grâce à cette œuvre de jugement et de châtiment, les hommes prendront pleinement conscience de l’essence souillée et corrompue en eux-mêmes et ils pourront changer complètement et être purifiés. L’homme peut être digne de retourner devant le trône de Dieu seulement de cette manière. Toute l’œuvre effectuée aujourd’hui vise la purification et la transformation des hommes ; grâce au jugement et au châtiment par la parole, ainsi que grâce à l’épurement, l’homme peut rejeter sa corruption et être purifié. Plutôt que de considérer cette étape de l’œuvre comme celle du salut, il serait plus approprié de dire que c’est l’œuvre de la purification. En vérité, cette étape est celle de la conquête, ainsi que la deuxième étape dans l’œuvre du salut. L’homme est gagné par Dieu grâce au jugement et au châtiment par la parole. Par l’utilisation de la parole pour épurer, juger et dévoiler, toutes les impuretés, les notions, les motifs, et les espoirs individuels dans le cœur de l’homme sont complètement révélés. Même si l’homme a été racheté et si ses péchés ont été pardonnés, c’est seulement considéré comme si Dieu avait oublié les transgressions de l’homme et n’avait pas traité l’homme en conformité avec ses transgressions. Toutefois, lorsque l’homme vit dans un corps charnel et qu’il n’a pas été libéré du péché, il ne peut que continuer à pécher, révélant sans cesse son tempérament satanique corrompu. C’est la vie que l’homme mène, un cycle sans fin de péché et de pardon accordé. La majorité des hommes pèchent dans la journée pour simplement se confesser dans la soirée. Ainsi, même si le sacrifice d’expiation est toujours efficace pour l’homme, il ne peut pas sauver l’homme du péché. Seulement la moitié de l’œuvre du salut a été achevée, car l’homme a encore un tempérament corrompu. Par exemple, quand les gens ont su qu’ils descendaient de Moab, ils ont proféré des paroles de plainte, n’ont plus cherché la vie et sont devenus complètement passifs. Cela ne montre-t-il pas que l’humanité est encore incapable de se soumettre entièrement à la domination de Dieu ? N’est-ce pas là précisément son tempérament satanique corrompu ? Lorsque tu n’étais pas soumis au châtiment, tes mains étaient élevées au-dessus de toutes les autres, même de celles de Jésus. Et tu as crié d’une voix forte : « Sois un fils bien-aimé de Dieu ! Sois un ami intime de Dieu ! Nous préférerions mourir plutôt que de nous prosterner devant Satan ! Révolte-toi contre l’ancien Satan ! Révolte-toi contre le grand dragon rouge ! Que le grand dragon rouge perde misérablement le pouvoir ! Que Dieu nous rende complets ! » Tes cris étaient plus forts que tous les autres. Mais vint ensuite le temps du châtiment et, encore une fois, a été révélé le tempérament corrompu des gens. Puis, leurs cris ont cessé, et ils n’avaient plus aucune résolution. C’est la corruption de l’homme ; plus profonde que le péché, elle est plantée par Satan et profondément enracinée dans l’homme. Il est difficile à l’homme de prendre conscience de ses péchés ; il est incapable de reconnaître sa propre nature profondément enracinée et doit compter sur le jugement par la parole pour obtenir ce résultat. L’homme peut dorénavant être progressivement transformé seulement de cette manière. L’homme a crié ainsi dans le passé parce qu’il ne comprenait pas son tempérament originel corrompu. Telles sont les impuretés dans l’homme. Tout au long d’une si longue période de jugement et de châtiment, l’homme a vécu dans une atmosphère de tension. Tout cela n’a-t-il pas été réalisé par le biais de la parole ? N’as-tu pas aussi crié d’une voix très forte avant l’épreuve des[a] exécutants ? « Entre dans le royaume ! Tous ceux qui acceptent ce nom entreront dans le royaume ! Tous auront une part en Dieu ! » Lorsque vint l’épreuve des exécutants, tu cessas de crier. Au tout début, tous crièrent, « Oh Dieu ! Où que Tu me places, je me soumettrai à Ta conduite. » En lisant les paroles de Dieu : « Qui sera Mon Paul ? » l’homme dit : « Je suis disposé ! » Puis il a vu les paroles : « Et qu’en est-il de la foi de Job ? » Alors il a dit : « Je suis prêt à prendre sur moi la foi de Job. Dieu, éprouve-moi, s’il Te plaît ! » Lorsque l’épreuve des exécutants est arrivée, il a immédiatement succombé et n’était presque pas en mesure de se relever. Après cela, peu à peu, les impuretés dans le cœur de l’homme ont progressivement diminué. Cela n’a-t-il pas été réalisé par la parole ? En conséquence, ce que vous avez expérimenté aujourd’hui est le résultat acquis par la parole, même plus grand que ce qui a été acquis par Jésus faisant des signes et des prodiges. La gloire de Dieu et l’autorité de Dieu Lui-même que tu vois ne sont pas simplement vues à travers la crucifixion, la guérison de la maladie et la délivrance des démons, mais plus encore à travers Son jugement par la parole. Cela te montre que non seulement l’œuvre des signes, la guérison de la maladie et la délivrance des démons sont l’autorité et la puissance de Dieu, mais que le jugement par la parole est mieux en mesure de représenter l’autorité de Dieu et de révéler Sa toute-puissance.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (4) », dans La Parole apparaît dans la chair

23. La stature de l’homme d’aujourd’hui, la connaissance, l’amour, la loyauté, l’obéissance, ainsi que la vision, tout ce que l’homme a atteint aujourd’hui, sont les résultats qui viennent du jugement par la parole. Si tu es capable de loyauté et de rester debout jusqu’à ce jour, c’est grâce à la parole. Maintenant l’homme voit que l’œuvre de Dieu incarné est en effet extraordinaire. Beaucoup de choses en elle ne peuvent pas être atteintes par l’homme ; ce sont des mystères et des prodiges. Par conséquent, plusieurs se sont soumis. Certains ne se sont jamais soumis à aucun homme depuis leur naissance, mais quand ils voient les paroles de Dieu aujourd’hui, ils se soumettent pleinement sans s’en rendre compte et ils ne se hasardent pas d’examiner ou de dire quoi que ce soit de plus. L’humanité est tombée devant la parole et gît prostrée devant le jugement par la parole. Si l’Esprit de Dieu parlait directement aux hommes, ils se soumettraient tous à la voix, tombant sans parole de révélation, tout comme Paul est tombé au sol devant la lumière sur le chemin de Damas. Si Dieu continuait à faire Son œuvre de cette manière, l’homme ne serait jamais capable de reconnaître sa propre corruption via le jugement par la parole et ainsi obtenir le salut. C’est seulement en devenant chair que Dieu peut porter personnellement Ses paroles aux oreilles de tous les êtres humains, afin que tous ceux qui ont des oreilles puissent entendre Ses paroles et recevoir Son œuvre de jugement par la parole. Un tel résultat n’est atteint que par Sa parole, plutôt que par la manifestation de l’Esprit terrifiant l’homme dans la soumission. C’est seulement par cette œuvre concrète et extraordinaire que le vieux tempérament de l’homme, caché profondément en lui pendant de nombreuses années, peut être pleinement exposé, de sorte que l’homme puisse le reconnaître et le faire changer. Tout cela est l’œuvre concrète de Dieu incarné dans laquelle Il parle et exécute le jugement d’une manière pratique pour atteindre les résultats du jugement de l’homme par la parole. Telle est l’autorité de Dieu incarné et la signification de l’incarnation de Dieu. C’est fait dans le but de faire connaître l’autorité de Dieu incarné, de faire connaître les résultats obtenus par l’œuvre de la parole, et pour faire connaître que l’Esprit est venu dans la chair et démontre Son autorité en jugeant l’homme par la parole. Bien que Sa chair ait la forme extérieure d’une humanité ordinaire et normale, ce sont les résultats que Ses paroles obtiennent qui montrent à l’homme qu’Il est plein d’autorité, qu’Il est Dieu Lui-même et que Ses paroles sont l’expression de Dieu Lui-même. Cela montre à tous les hommes qu’Il est Dieu Lui-même, qu’Il est Dieu Lui-même fait chair et que personne ne doit L’offenser. Personne ne peut surpasser Son jugement par la parole et aucune force de ténèbres ne peut l’emporter sur Son autorité. L’homme se soumet à Lui entièrement parce qu’Il est la Parole devenue chair, en raison de Son autorité et en raison de Son jugement par la parole. L’œuvre accomplie par Sa chair incarnée est l’autorité qu’Il possède. Il devient chair parce que la chair peut également posséder l’autorité, et Il est capable de réaliser l’œuvre parmi les hommes d’une manière pratique, de sorte qu’elle est visible et tangible pour l’homme. Cette œuvre est beaucoup plus réaliste que toute œuvre directement effectuée par l’Esprit de Dieu qui possède toute autorité, et ses résultats sont également visibles. La raison en est que la chair incarnée de Dieu peut parler et œuvrer de façon pratique. La forme extérieure de Sa chair n’a pas d’autorité et l’homme peut s’en approcher, alors que Son essence a vraiment de l’autorité, mais personne ne voit Son autorité. Quand Il parle et quand Il œuvre, l’homme est incapable de détecter l’existence de Son autorité ; cela L’aide à faire une œuvre de nature pratique. Et toute cette œuvre pratique peut obtenir des résultats. Même si personne ne se rend compte qu’Il détient l’autorité ou ne voit pas qu’Il ne peut pas être offensé, ou ne voit pas Sa colère, Il obtient de Ses paroles les résultats qu’Il escomptait par Son autorité voilée, Sa colère camouflée et par Sa parole publique. En d’autres termes l’homme est tout à fait convaincu par Son ton de voix, la sévérité de Son discours et toute la sagesse de Ses paroles. De cette façon, l’homme se soumet à la parole de Dieu incarné qui apparemment n’a pas d’autorité, et ainsi le but de Dieu de sauver l’homme est atteint. C’est un autre aspect du sens de Son incarnation : parler de façon plus réaliste et permettre à la réalité de Ses paroles d’avoir un effet sur les hommes afin que les hommes puissent être témoins de la puissance de la parole de Dieu. Donc, cette œuvre, si elle n’était pas faite par l’incarnation, n’atteindrait aucun résultat et ne pourrait pas sauver les pécheurs pleinement. Si Dieu ne devenait pas chair, Il demeurerait l’Esprit à la fois invisible et intangible pour l’homme. L’homme étant une créature de chair, l’homme et Dieu appartiennent à deux mondes différents et ils possèdent une nature différente. L’Esprit de Dieu est incompatible avec l’homme de chair et aucune relation ne peut être établie entre eux, sans mentionner que l’homme ne peut pas devenir un esprit. Cela étant ainsi, l’Esprit de Dieu doit devenir un être créé et faire Son œuvre originale. Dieu peut aussi bien accéder à la plus haute place et s’humilier Lui-même pour devenir un être humain, accomplissant Son œuvre parmi les hommes et vivant parmi eux, mais l’homme ne peut pas accéder à la plus haute place et devenir un esprit, et il peut encore moins accéder à la place la plus basse. C’est pourquoi Dieu doit devenir chair pour réaliser Son œuvre. De la même manière, durant la première incarnation, seule la chair de Dieu incarné pouvait racheter l’homme par Sa crucifixion, alors qu’il n’était pas possible que l’Esprit de Dieu soit crucifié comme un sacrifice d’expiation pour l’homme. Dieu pouvait directement devenir chair pour servir de sacrifice d’expiation pour les hommes, mais les hommes ne pouvaient pas monter directement au ciel pour recevoir le sacrifice d’expiation que Dieu avait préparé pour eux. Ainsi, tout ce qui était possible, c’était de demander à Dieu de faire quelques aller-retour entre le ciel et la terre, et non de laisser l’homme monter au ciel pour recevoir ce salut, car l’homme était tombé et de plus, l’homme ne pouvait simplement pas monter au ciel, encore moins obtenir le sacrifice d’expiation. Par conséquent, il était nécessaire que Jésus vienne chez les hommes et fasse personnellement l’œuvre qui ne pouvait tout simplement pas être accomplie par l’homme. Chaque fois que Dieu est devenu chair, c’était absolument nécessaire. Si l’une des étapes avait pu être réalisée directement par l’Esprit de Dieu, Il n’aurait pas supporté les indignités d’être incarné.

Extrait de « Le mystère de l’incarnation (4) », dans La Parole apparaît dans la chair

Note de bas de page :

a. Le texte original ne contient pas l’expression « épreuve des ».

Source : L’Église de Dieu Tout-Puissant

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